Trente arpents
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Travaux 1 - 25%
Le 19 octobre, 2009
Classification de Trente Arpents
Au cours de la première moitié du vingtième siècle un forme d'écriture populaire était le roman de la terre (Lessard 1). La majorité de ce type de livre ont été écrits dans les contraintes thématiques rigides du genre. D'habitude en se concentrant sur les aspects positifs de la vie agriculturaliste pour la durée des quatres saisons météorologiques, et surtout avec l'accentuation sur la famille rurale, la religion catholique et l’importance de la langue française (Servais-Maquoi 4). De bons exemples du roman de la terre traditionnel sont Le Survenant écrit par Germaine Guevremont et Maria Chapdelaine de Louis Hémon. Trente Arpents écrit par Ringuet, nom réel Philippe Panneton (Lamy et Rousseau 14), est habituellement classifié comme roman de la terre (Noble 121) mais en réalité cela manque plusieurs des caractéristiques important déjà mentionné du genre. Cette rédaction expliquera comment Ringuet a viré des méthodes typiques du roman de la terre et comment cela a affecté l'histoire qu’il a présenté. Premièrement, pour comprendre pourquoi Trente Arpents est différent que le style traditionnel du roman de la terre nous devons comprendre exactement ce qui fait ce type de livre. C’est caractérisé comme un texte qui glorifie les aspects du mode de vie paysannerie des fermiers canadiens français. Aussi, peut-être aussi important, sa exemplifie les différences entre les Canadiens francophones et les anglophones de L'Amérique du Nord (Tremblay 26). Le roman de la terre fait une grande distinction en comparant la religion Roman Catholique, le style de vie d'agronome, la vie de famille rurale et l'opposition au modernité des francophones, à la religion Protestante, l’environnements de travail industrialisés et les domiciles urbains des Anglais (Tremblay 20). Le roman du terroir québécois peut être considéré essentiellement en tant qu'instrument destiné à la fois à légitimer