Utilité de la sociologie
Pour répondre à ces questions il commence par expliquer son parcours personnel et en déduis que l’on peut prévoir de devenir sociologue « on ne peut avoir de projet » car c’est seulement du au hasard et à notre vie passée que l’on devient ce que l’on est. Selon lui, il est préférable de se demander comment et non pourquoi on est devenu ce que l’on est car chacun est acteur de sa propre vie.
Pour montrer l’utilité de la sociologie, il la présente comme étant moins utile que les autres sciences car « elle n’est la source d’aucune industrie » et n’apporte donc pas d’argent à la société. S’intéressant à l’utilité de chaque domaine, la sociologie se doit de se retourner la question sur sa propre utilité : « la sociologie joue-t-elle un rôle dans la vie sociales, lequel, et quelle est sa vocation ? De ce fait, François Dubet s’interroge sur l’utilité même de la sociologie.
C’est seulement dans les années 60 qu’il comprend l’utilité de la sociologie grâce à l’évolution de la société (30 glorieuses). Cette science quantitative utilise des outils et des méthodes pour analyser les faits de la société.
De plus, il recourt à des arguments historiques pour permettre aux sociétés de mieux se comprendre aujourd’hui.
Du à la mondialisation, les sociétés ont subis de nombreuses transformations. Ainsi la sociologie permet aux sociétés « de se connaître et de se reconnaître » face à l’ouverture des autres sociétés, il émet cette idée dans cet extrait « la conséquence de leur propre action, parce que le monde s’est ouvert, parce que les cultures et les sociétés se frottant de plus en plus les unes au autres, elles doivent sans cesse se connaître et se