Elisabeth Kübler-ross, david Kessler, sur le chagrin et le deuil

p. 25 : « les cinq étapes du deuil – le déni, la colère, le marchandage, la dépression et l’acceptation – font partie du cheminement au cours duquel nous apprenons à vivre avec l’absence de l’être perdu. Ce sont des outils qui nous aident à cerner et à identifier nos sentiments, non pas des jalons définissant une chronologie linéaire du deuil. Tout le monde ne passe pas forcément par ces cinq étapes et les réactions ne suivent pas toujours le même ordre. »

p. 26 : Le déni : « au refus de croire à la rélaité d’une maladie incurable »
p. 29-30 : « Cette première étape du deuil permet de survivre à la perte […]. Nous sommes en état de choc, sidérés, paralysés, anesthésiés. […]. Le déni est un mécanisme de protection psychique […]. Nous refusons de croire ce qui s’est passé parce que nous ne pouvons pas y croire. A ce stade, l’admettre est au-delà de nos capacités.

p. 31 : la colère : la colère n’est pas nécessairement logique, ni fondée.[…] Il est important de noter que la colère n’éclate qu’une fois que l’on a acquis le sentiment de pouvoir affronter l’avenir […].
p.32 : Probablement serez-vous en colère de vous retrouvez dans une situation que vous n’aviez pas anticipée, pas méritée, ni souhaitée. […] la colère est une phase indispensable au processus de guérison. […] elle constitue un instrument de gestion émotionnelle. […] Tout au long du processus de deuil, elle resurgira toutefois à de nombreuses reprises et sous différentes formes. »
p.37 : trouvez des moyens de l’extérioriser sans vous blessez ni faire de mal à quiconque.
p./38 : la colère revêt différentes formes, parfos celle de la culpabilité, forme de colère contre soi-même.

Le marchandage :
p.39 : nous voulons que la vie redevienne comme avant […]. Nous voulons remonter le temps. […] Si seulement cet accident ne s’&était pas produit… […] Nous ferions n’importe quoi pour ne pas avoir autant de chagrin. Nous préférons