Voletaire et la religion
Dans une conversation Voltaire a outragé un noble et il a dû partir pour l’Angleterre afin d’éviter l’arrestation. Là, Voltaire a connu une liberté qui n’était pas du tout concevable en France de l’époque et son séjour l’a influencé profondément.
Finalement Voltaire a pu rentrer en France. Là il a continué sa lutte incessante contre l’injustice ; c’était un savant qui ne se séparait jamais de la réalité quotidienne, un intellectuel engagé dans le meilleur sens du terme. Il aidait les gens qui étaient accusés injustement, il a commencé à écrire des pamphlets et des polémiques et sous le fameux slogan « écrasez l’Imfâme » il luttait contre l’Église (mais pas contre la religion).
Voltaire est mort en 1778. Juste avant sa mort il a proclamé qu’il vénérait Dieu, qu’il aimait ses amis, qu’il ne ressentait aucune haine pour ses ennemis et qu’il détestait la superstition.
Voltaire était un grand critique de l’Église catholique. Il ironisait par exemple le fait que les conciles ecclésiastiques ont condamné la notion des antipodes comme hérétique et pourtant les antipodes ont été découverts par ceux qui respectent le pape et les conciles et on y exporte activement la même foi qu’on croyait la destruction sure, au cas où on pourrait trouver un homme qui eût la tête en bas et les pieds en haut par rapport à nous.
Mais quand on lit Voltaire, on voit qu’il critique non seulement l’Église catholique mais aussi le protestantisme anglais, le presbytérianisme, les Quakers. Affirmer que Voltaire était un critique de la religion en tant que telle et former une