Voltaire
Voltaire décrit la guerre comme un événement qui retire toute humanité aux soldats comme le montre le verbe « renversèrent », verbe utilisé en général pour des quilles l’emploi de ce verbe est donc ici un euphémisme. L’auteur ne s’arrête pas avec un seul verbe, il continue en utilisant des adjectif numéraux comme « millier d’homme », « 9000 à 10000 coquins » qui nous montre que la guerre provoque beaucoup de victime et nous fait imagine des scènes plus horribles les unes que les autres. Ces adjectifs sont accompagné d’adjectif indéfini tel que « environ », « à peu près » et « quelques » qui contraste fortement avec le nombre de mort, un de plus ou un de moins, il n’y a pas vraiment d’importance. Voltaire nous montre donc que peu importe le nombre de mort, même les adjectifs numéros restent vagues, l’important c’est le résultat. La vie humaine a peu de valeur durant la guerre pour les Roi, d’ailleurs les Rois dans ce passage sont décrit de manière identique « Les deux rois chacun dans leur camp », il n’y a donc pas de bon et de méchant. Voltaire continue son récit en faisant déplacer son protagoniste dans un village attaqué par les Bulgares, l’auteur veut donc nous montrer une autre facette de la guerre, ce qui se passe loin du champ de bataille. Voltaire commence en nous disant que ce village est réduit en cendre « selon les