Zadig voltaire
Voltaire souhaite ici aborder les différentes situations qu’un philosophe peut rencontrer au cours de sa vie, en l’occurrence Zadig .
Dès le départ, le lecteur prend connaissance du rôle important de ministre que tient Zadig : « c’est ainsi qu’il montrait tous les jours la subtilité de son génie et la bonté de son âme ». Malgré les hautes fonctions que celui-ci entretient désormais, il est resté quelqu’un de brillant et de bon. Cela lui permet d’être admiré et aimé par le peuple qu’il gouverne. La foule voue une infinie confiance envers Zadig qui guide celle-ci : « on ne croyait plus que ce qui lui semblait croyable », ligne 10, ce qui signifie que le peuple se range toujours du côté de Zadig.
Les Babyloniens dépendent beaucoup de Zadig, cela est prouvé de la ligne 16 à la ligne 20 : « On attendait le jour […] pour savoir quelle secte serait favorisée par Zadig. L’univers avait les yeux sur ses deux pieds, et toute la ville était en agitation et en suspens. » . Cependant, l’Envieux et sa femme ne sont pas du même avis que le peuple, et sont même à l’opposition des décisions et du comportement de Zadig, ils sont rongés par un sentiment de jalousie non fondé : « Il est sec et sans génie » ligne 27-28 confirme cela car Zadig a maintes et maintes fois prouvé son ingéniosité et sa sagesse. C’est une fois de plus confirmé à la ligne 31 : « Zadig se contentait d’avoir le style de la raison », ce qui signifie également que le style