L'être humain selon freud et sartre : est-ce que l’inconscient humain défini par freud est universel?

1234 mots 5 pages
L’ « être humain» a toujours cherché à pouvoir se définir autrement des autres espèces de notre planète. À travers les années, les scientifiques, les philosophes, les penseurs, les chercheurs et autres ont voulu trouver une réponse au grand mystère que l’homme représente dans la complexité de sa simplicité. Les thèses, certaines plus crédibles que d’autres, ont surgit sans cesse de plus en plus à partir du 20ième siècle. Dans cette optique, nous verrons deux auteurs qui présentent des points de vues différents sur un mystère de l’homme. Selon Freud, l’inconscient est défini par la partie psychique qui permet le refoulement du désir. Cependant, est-ce que l’inconscient humain défini par Freud est universel? Depuis un très jeune âge, Sigmund Freud est destiné à devenir un grand homme selon ses parents qui le favorise parmi ses frères et soeurs. Sa conception psychanalytique part d’un déterminisme psychique qui implique une notion de résistance psychique soit l’inconscient. D’une autre part, Jean-Paul Sartre est un intellectuel engagé qui ne croit plus en Dieu après les horreurs de la Deuxième Guerre Mondiale et présente une conception existentialiste qui cherche une prise de conscience sociale. Elle se définit en affirmant que Dieu n’existe pas et que nous sommes que la somme de nos actions. Nous devons cesser, selon lui, de chercher à inventer un déterminisme organique ou psychologique pour justifier nos gestes. Dans ce texte, nous le verrons à travers une conception psychanalytique et une conception existentialiste.

Premièrement, Freud cherche à découvrir les mystères entourant l’esprit puisqu’il croit qu’il existe un corps et un esprit. Un jour, lors d’une séance d’hypnose de Jean-Martin Charcot, il se rend compte du pouvoir de la parole sur les patients hystériques. À partir de ce moment, il s’intéresse aux psychisme et va commencer à cherche et à comprendre les causes de la névrose. Ainsi, le point de départ se situe avec le principe d’un déterminisme

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