environnement et le sport

L’environnement et le sport Depuis quelques années, la pollution qui affecte l’environnement négativement entre en question dans le monde du sport. Du football à la natation en passant par le cyclisme et la formule 1, tout le monde passe. Le site france24.fr, le 4 janvier 2013 offre à ce sujet un regard particulier sur l’impact des activités sportives et offre aux lecteurs deux articles : les mauvaises notes du sport et le sport auto veut verdir son image. L’article les mauvaises notes du sport offre une image quantifiée, déplorable, de l’impact des sports sur l’environnement. Les chiffres sont alarmants quand on pense que les jeux olympiques de Londres à eux seuls ont produits autant de gaz à effet de serre que 200,000 foyers européens tout au long de l’année. Le marathon de Paris, sur les 10,000 organisé en France rejette 450,000 bouteilles. La neige artificielle utilisée pour les Alpes Françaises consomme 20 million de mètre cube d’eau. La liste est longue. Les activités les plus polluantes en ordre décroissant sont donc Les jeux olympiques de Londres, La coupe du monde de football suivi de celle de ski Alpin, la coupe du monde de rugby, Rolland Garros, le rallye Dakar, et le grand prix F1. Fort heureusement, des dispositions sont prises à l’image des courses de voiture comme l’indique l’article et le sport auto veut verdir son image. Honteux de sa place dans le meurtre de notre nature, les sports autos prennent des dispositions non seulement pour diminuer le cout des dépenses mais aussi pour réduire leur émission de gaz à effet de serre. A cet effet, les écuries favorisent l’usage des énergies renouvelables, la technologie des voitures électriques, ainsi que des limites sur l’opération des véhicules en termes de durée. En somme, les différentes activités sportives polluent énormément. La considération cependant des différents acteurs à des activités plus écologiques réguisent les observateurs. Encore faut-il que ses