L'édit de Caracalla est-il dans la continuité des politiques antérieures ou est-il une mesure révolutionnaire pour l'Empire?

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L’édit de Caracalla est-il dans la continuité des politiques antérieures ou est-il une mesure révolutionnaire pour l’Empire?

L’édit de Caracalla (212) écrit par l’empereur Caracalla (188-217), accorde la citoyenneté à tous les hommes libres de l’empire romain, avec ses droits et ses devoirs.
Avant 212 la citoyenneté romaine était difficile d’accès, prestigieuse et elle offrait de nombreux droits et impliquait bien sûr des devoirs. Cela donnait une hauteur à Rome et aux citoyens romains. Les différents empereurs recherchaient ce prestige la, cette inaccessibilité. Cet édit à déplut énormément à Rome et créa une certaine incompréhension.
Le but de Caracalla en offrant la citoyenneté est de ravir les dieux romains en introduisant dans le culte de ses dieux ses nouveau et nombreux citoyens. Il mène donc ainsi une sorte d’action sainte, et donc le sacrifice de la valeur de la citoyenneté romaine au profit des dieux. Cependant Don Cassius (155-2 35) parle de Caracalla comme d’un barbare qui pillait, d’un homme obnubilé par les victoires de guerre, qui dépouillait les sénateurs, taxait les citoyens de plus en plus… On suppose donc des raisons économiques officieuses, les pérégrins ne payant pas la plus part des taxes, les rendre citoyens devait rapporter d’importantes sommes d’argent.
D’autres parts les romains ont déjà par rapport aux athéniens une définition moins stricte de la citoyenneté, dans l’Empire romains tout homme libre peut demander la citoyenneté, l’esclave affranchis comme le soldat ayant effectué 25 ans de service l’acquièrent. Par rapport au cités grecques, l’Empire romain se distingue par un octroie large de la citoyenneté.
On parle de Caracalla comme d’un tyran qui met a mort ses sénateurs et proconsuls. Il est détesté, caractérisé par sa férocité naturelle. Il est insolent devant le sénat et ne respecte rien. Ses édits tels qu’ils soient sont rejetés d’avance par le peuple qui n’a pour autant pas le choix.
En conclusion, l’octroie

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