Tout d’abord, dans le conte de Dino Buzzati, « l’arme secrète », on remarque que la guerre entraîne un climat ou l’angoisse est omniprésente. L’attente qu’un évènement tragique se produise démontre bien cette réalité. C’est ainsi qu’en pleine crise durant la guerre froide, que l’URSS lance un ultimatum aux États-Unis afin qu’ils quittent la terre de whipping en antarctique. Puisque les américains refusent de quitter la terre, le début des hostilités armées se font sentir. Le narrateur décrit ainsi la peur des russes : « l’inquiétude, l’angoisse, le sens de la fatalité, l’attente de la mort : ils étaient des hommes eux aussi, fait de chair et de sang »[1] Cette gradation démontre une atmosphère plutôt sombre nous montre que les gens vivent continuellement dans la peur, attendant que le pire se produise suite a l’attaque des américains, et donc que la mort survienne. À cela s’ajoute, le fait que les habitants des deux pays en guerre vivent avec la crainte de perdre leurs habitudes de la vie quotidienne qui leurs sont cher. À la veille d’une attaque de l’URSS, les américains renoue avec une triste sensation leur faisant prendre conscience que « Les choses ennuyeuses et misérables de la vie quotidienne, le fait de se réveiller le matin dans son lit, la première cigarette, le tram, la vitrine illuminée, le travail à l’usine ou au bureau, la flânerie, le caprice de l’enfant, le cinéma en quatrième vision les chaussures neuves, la loterie du samedi soir, [deviendraient] le symbole de la félicité humaine »[2]. Cette énumération représente bien la peur et la crainte qu’avaient les victimes de la guerre face a l’idée que tout leur monde pourrait s’écrouler leurs faisant ainsi perdre tous les aspects banals, mais importants dans leurs vie qui serait détruits avec la guerre. Bref, la guerre tel que démontré par Buzzati, est décrit comme quelquechose qui entraîne un état d’esprit les gens vivent dans l’attente qu’un évènement tragique se produise et qui risque de