L'être humain(cours 102 au collégial)
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L’humain est un être possédant une quantité de capacités phénoménales, qu’il acquit avec le temps. Mais dans le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, chacune de ces aptitudes sont-elle véritablement à la hauteur de notre monde actuel? Ou encore, est-ce tout le monde qui détient les compétences pour survivre à la société que l’humain a bâtis? À partir de ces questionnements, il sera intéressant de centrer la question sur un groupe de personnes particulier : les collégiens. Sont-ils capable, eux, de suivre une formation collégiale? Devant cette interrogation, il y aurait deux partis : ceux qui croient que n’importe qui est apte de faire des études collégiales et ceux qui n’y croient pas. Dans ceux faisant partis du premier parti, on y compterait sans l’ombre d’un doute les chrétiens, mais également Jean-Jacques Rousseau. Puis, Darwin serait certes de ceux qu’ils n’y croient pas. Rappelons-nous sa théorie basée sur la survie du plus capable. Aussi en découlerait les darwinistes sociaux... D’autres pourrait affirmer que la capacité dépend de la volonté et des besoins de chaque personne
Tout d’abord, l’écrivain et philosophe Jean-Jacques Rousseau clame que toute personne est naturellement bonne. À son avis, c’est la société qui la déforme. Au départ, l’homme ne connait absolument rien : il ne parle pas, ne sait pas écrire, et n’intervient pas, ou que très peu, avec autrui. Dès cette étape, il est possible de déterminer les différences pénalisantes entre chaque individu (santé, aptitudes, etc.). En ne connaissant rien, en n’ayant aucune obligation et en n’ayant pratiquement aucun échange avec ces semblables, l’être humain n’a rien à devoir à personne. Il ne connait rien à la vie en société. C’est ainsi que nait la liberté naturelle. Puis, il apprend à parler, à interagir avec les autres peu à peu. Tout dépend de cette étape car c’est de là que la société nait et donc par la que l’humain se corromps. Il est primordial de savoir que pour Rousseau, la liberté est