« I HAVE A DREAM »! J’ai le rêve qu’un jour, mes quatres enfants vivront dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour leur caractère (Martin Luther King). Moi je dis que « J’ai une rêve que plus tard mes quatres enfants vivront dans une nation où ils ne seront pas jugés pour leur sexe mais pour la valeur de leur caractère ». On a choisis ce thème car la femme n’est toujours pas bien placée dans la société. Beaucoup de jeunes filles ont accès à l’école mais, malheureusement pas partout dans le monde dont l’Afghanistan et le Pakistan. Comment la femme est considérée en Afghanistan et Pakistan? Afin de répondre à cette question, on va vous parler de Chékéba Hachemi, un personnage qui s’est battue pour le droit de l’éducation de la femme en Afghanistan et de Malala Yousafzai qui de même se bat pour l’éducation de la femme au Pakistan.

Tout d’abord, Chékéba Hachemi née le 20 mai 1974 à Kaboul, a fui l’occupation soviétique durant sa jeunesse avec sa mère et se trouve très vite séparée d’elle. Elle se dirige seule vers le Pakistan. En avril 1986, elle arrive en France. Après ses études, elle fonde l’association Afghanistan Libre en 1996 afin de lutter contre l’emprise des talibans et permettre d’organiser des projets éducatifs pour les femmes. Sa meilleur arme reste son franc-parler et de son envie de changer le droit de la femme en Afghanistan. Chékéba est retourné à Kaboul où elle va rencontrer le commandant Massoud en 1999 et parvient à le faire venir devant le Parlement Européen, le 5 avril 2001. Après la chute du régime taliban, Hamid Karzaï la nomme première femme diplomate afghane à Bruxelles, elle occupe d’importants postes politiques dont celui d’ambassadeur d’Afghanistan à Bruxelles, de Ministre des Affaires Etrangères... . L’Afghanistan connait des problèmes et donc, c’est pour cela qu’elle décide de démissionner. Chékéba n’a jamais voulu travailler dans la politique mais défendre