user icon

Élements pour une théorie de la religion - résumé analytique

2408 mots 10 pages
Montre plus
2011
Élément pour une théorie de la religion
Résumé analytique
Pierre K. Bercy
Université St-Paul – Faculté de Théologie 2011
Élément pour une théorie de la religion
Résumé analytique
Pierre K. Bercy
Université St-Paul – Faculté de Théologie

Table des matières

INTRODUCTION 2 PREMIÈRE PARTIE 3 L’expérience humaine du sacré comme expérience d’un Tout autre – Le fascinant et le terrifiant 3 Le sacré et la pensée symbolique 3 Le mythe comme récit sacré 3 La puissance des rites 4 La dialectique du sacré et du profane 4 Le sacré et le profane 4 L’interdit du sacré 5 Le sacré et la transgression 5 La religion comme gestion du sacré 5 Sacré et désacralisation contemporaine - Sacré domestique et sacré sauvage 6 Pan-ludisme contemporain 6 DEUXIÈME PARTIE 7 Analyse et commentaires 7 CONCLUSION 10 BIBLIOGRAPHIE 11

INTRODUCTION

«Éléments pour une théorie de la religion» est un texte de Guy Ménard qui reprend pour l’essentiel le contenu de : G. Ménard, «Le sacré et le profane, d’hier à demain», dans le collectif Figures contemporaines du sacré : religion et culture au Québec, publié en 1986, sous la direction de Y. Desrosiers aux éditions Fides à Montréal. Guy Ménard est un sociologue des religions, professeur, romancier et poète québécois. Il a été professeur au département des sciences religieuses de l'Université du Québec à Montréal et directeur de la revue Religiologiques. Dans ce texte «Éléments pour une théorie de la religion», Guy Ménard propose deux pistes différentes et à la fois complémentaires pour une interprétation religiologique du phénomène du sacré et de l’expérience humaine vis-à-vis de ceci. Il y a la piste expérientielle et phénoménologique et la piste socio-anthropologique de la culture.
Dans ce travail, nous allons dans un premier temps, essayer d’entrer en dialogue avec l’auteur, chercher à mieux comprendre ses points de vue et ses affirmations pour bien résumer son article et lui rendre

en relation

  • Suis-je ce que je mange philosophie
    1168 mots | 5 pages

    Il se joue la, un retournement de valeurs qui fait du ventre l'origine de la pensée. La religion recommandait de prendre soin de sa vie spirituelle, de faire chaque jour son examen de conscience pour veiller a ce que nos pensées ne soient pas mêlées d'impuretés. A l'epoque moderne, ce soucis se reporte sur la nourriture. Apprendre a manger, c'est modeler son etre en profondeur, c'est cultiver son interiorité. Il y a longtemps deja, dans le livre IX de la republique, platon mettait en garde contre deux dangers de la diététique.….

    montre plus
  • La Laïcité aux USA
    642 mots | 3 pages

    Une intervention quelconque de l’Etat dans une affaire religieuse est redoutée et très mal vue. De plus, la prière à l’école est interdite depuis 1962 par l’arrêt Engel contre Vitale. Les signes ostentatoires de religion sont autorisés, ce qui prouve qu’aucune religion n’est favorisée par l’Etat.….

    montre plus
  • Alfred de musset on ne badine pas avec l'amour
    1956 mots | 8 pages

    Il ne croit pas en Dieu : « je ne crois pas » (Acte V, 5), au paradis, « à la vie immortelle » (V, 5). De plus, il critique la religion en expliquant que « l’amour divin » est un « mensonge ».5- Pour moi, cette peur est compréhensive et est toujours d’actualité car c’est encore la peur de beaucoup de personnes. En effet, pour le cas de Camille, sa peur est tout a fait justifiée car les sœurs de son couvent et une en particulier lui ont fait confidence de leurs histoires d’amour passée et qui les ont détruites.….

    montre plus
  • Tartuffe acte 1 scène 1
    510 mots | 3 pages

    La plupart des prêtres appartiennent à la compagnie et influencent les familles et les princes et retournent des avis contre le roi. Ce n’est pas une pièce anti-religieuse ça critique ceux qui utilisent la religion à de fins personnelles. Il y a aussi une critique de l’homme avec une portée argumentative. Choses critiquées chez l’homme :· La cupidité (amour de l’argent Tartuffe)· Hypocrisie · Cupidité· La bêtise humaine· La manipulation des autres· Le gout du pouvoirChose….

    montre plus
  • synthèse TPE
    478 mots | 2 pages

    Nous avons donc choisi : « Les réactions des religions face aux avancées scientifiques du XVI à nos jours ». Ce sujet porte sur la science et l'histoire, ce qui nous intéressaient particulièrement, moi même plus intéressé par l'histoire. Après de rudes difficultés à choisir la problématique, les premiers exemples étaient trop vagues, nous avons pu élaborer un plan et nous nous sommes répartis les tâches.….

    montre plus
  • Chapitre 11
    2444 mots | 10 pages

    La vie religieuse à Rome jusqu'au début de l'empire Jean-René Jannot Professeur émérite à l’université de Nantes Membre de l’Istituto di Studi Etruschi ed Italici (Florence-Rome) Lorsque, en 382, le christianisme triomphant supprima toutes les cérémonies religieuses du paganisme en place, ce sont plus de cent vingt fêtes qui disparurent du calendrier romain, en attendant que beaucoup d'autres s'y substituent. De ces très nombreuses manifestations qui scandaient l'année, certaines étaient de première importance, d'autres très secondaires, mais toutes se déroulaient selon un schéma immuable. Beaucoup étaient si anciennes qu'on en avait presque oublié le sens et qu'on avait brodé sur les cérémonies incomprises des mythes étiologiques (explicatifs) et des légendes historiques qui n'avaient d'autre fondement que celui de justifier un acte rituel. C'est que la religion romaine était avant tout un tissu d'actes rituels, comme nous l'explique Jean-René Jannot.….

    montre plus
  • Synthèse - la religion dans le rouge et le noir de stendhal
    1171 mots | 5 pages

    Méthodologie - Exercice de synthèse La religion dans Le Rouge et le Noir Tandis que sous la Restauration, l'Eglise Catholique tente de rechristianiser la société, Stendhal, dans Le Rouge et le Noir mais aussi dans La Vie de Henri Brulard, a une vision très négative de la religion. En effet, cette aversion remonte à son enfance où, entouré de jésuites avides de pouvoirs et de reconnaissances, il se met à détesté le religieux. C'est véritablement dans Le Rouge et le Noir que Stendhal règle ses comptes avec le religieux et on peut se demander comment cet auteur, qualifié de laïque, nous dresse un portrait très noir de la religion où les seules exceptions positives restent marginales.….

    montre plus
  • Theatre
    528 mots | 3 pages

    C’est tout d’abord l’œuvre de Martin Luther. b. Ses idées Le protestantisme est un dérivé du christianisme. Les protestants considèrent qu'ils doivent lire les textes sacrées (la Bible) dans une langue qu'ils comprennent, et non en grec ou latin.….

    montre plus
  • Epicure vainqueur de la religion
    1163 mots | 5 pages

    Au contraire, c'est le plus souvent la religion elle-même qui enfanta des actes impies et criminels. Trad. A. Ernout, © Les Belles Lettres, CUF, 1920 I la critique de la religio Association des dieux aux fables (fama) et aux phénomènes naturels (foudre et tonnerre) qui sont autant d'obstacles….

    montre plus
  • Dissert
    2138 mots | 9 pages

    Ainsi on peut y voir une remise en cause de la valeur de la religion mais pas nécessairement ici une critique virulente puisque le but même du texte qui est de montrer la nécessité d’un rapport et d’un fondement strictement humain et social des mesures de sauvegarde de la communauté civile et aussi utile à redéfinir le champ de la religion ou plus exactement de lui permettre de raviver quelque peu sa valeur. La religion n’en reste pas moins cette illusion dont il s’agit justement d’étudier l’avenir. Le texte que nous avons….

    montre plus
  • democratie
    5230 mots | 21 pages

    3Ce qui est de nature à séduire même ceux qui sont les plus rétifs à la religion, dans la thèse de Kantorowicz, c’est que cette religiosité de l’État est moins affaire de transcendance que de présence. En effet, si l’État est quelque chose de sacré, ce n’est pas parce qu’il se tiendrait en extériorité, au-dessus donc séparé des individus sur lesquels il exerce sa puissance, mais tout au contraire parce qu’il est présent à eux, il fait corps avec eux ; il est doté d’une permanence qui permet aux mortels que nous sommes de s’attacher charnellement à lui qui est immortel.….

    montre plus
  • La théorie du le fait religieux
    3882 mots | 16 pages

    LE FAIT RELIGIEUX LA MAGIE L'origine du mot magie est très discutée. Certains n'y voient que la racine grecque magia, alors que d'autres remontent aux Perses de la période mazdéenne, chez qui le magoï était une personnalité importante dans le système religieux du zoroastrisme[1] . D'autres, enfin, regardent vers les peuples sémitiques du Moyen-Orient, voyant son origine dans le mot akkadien magdim.….

    montre plus
  • Analyse de mircéa éliade - le sacré et le profane
    396 mots | 2 pages

    L’homme religieux et l’homme areligieux ont une façon de concevoir la vie tout à fait différente. Tout d’abord, l’un essaie de se faire lui-même en s’investissant dans la religion et s’identifiant aux Dieu tandis que l’autre, tente de se faire lui-même en désacralisant son monde et faisant abstraction de toute religiosité. L’homme profane refuse tout association trans-humaine et ne cesse de douter de la raison de son existence sur terre.….

    montre plus
  • Dissertation sur la religion
    355 mots | 2 pages

    La religion n’a t-elle qu’une fonction de cohésion sociale ? Religion= phénomène commun a ttes sociétés = representation collective Cohesion= reunit les gens, notion de solidarité. Conservation utile pr l’espece Il faut partir de la source sociale de la religion.….

    montre plus
  • Foi et raison
    6006 mots | 25 pages

    LA FOI ET LA RAISON La nature de la foi et de la raison et le conflit éventuel entre les deux sont des sujets de réflexion sur la religion et même en dehors du champ dit « religieux ». Les premiers textes cherchant à les concilier ou à en expliquer l'opposition datent de la pensée médiévale latine des xiie et xiiie siècles1,. Les développement ultérieurs peuvent être trouvés, par exemple, dans l'affaire Galilée, ou chez Luther,Descartes, Spinoza et Kant2. Sur un plan épistémologique contemporain, pour un auteur comme Jacques Derrida, dans Foi et savoir3 ou Jacques Bouveresse, dans Peut-on ne pas croire ? 4 il est question de déterminer si l'on peut se dispenser de croire pour savoir, s'il est légitime de croire au savoir, ou encore s'il est légitime de croire ce que l'on affirme par ailleurs ne pas pouvoir savoir.….

    montre plus