Le vieux qui lisait des romans d'amour est un roman écologique. Premièrement, les personnages de cet œuvre pensent beaucoup à la nature ,et du même fait, à l'écologie. Le vieux dont le titre parle c'est Antonio José Bolivar. Les gens qui le voient, parlent de lui qu'il est un chasseur, mais il ne se qualifie pas de la sorte. Il leurs répond: «Ce n'est pas vraie, parce que les chasseurs tuent pour vaincre la peur qui les rend fous et les pourrit de l'intérieur » . Il a toujours une bonne raison de faire une chasse. Il tient beaucoup a ses valeurs. L’extrait où le vieux ce parle à lui-même : « tu as préparé ton dard, tu as emmailloté de toiles d’araignées la pointe acérée, tu l’as enduit de curare, tu l’as introduit dans la sarbacane, et tu as visé en cherchant la base du crâne ». Tout ses éléments sont rattachés au même champ lexical et c'est celui: d'article de la jungle. Ce champ démontre qu'il chasse toujours avec des matériaux de la jungle, donc il est écologique. Ensuite, il y a les Shuars qui ont des valeurs écologiques comme les lecteurs peuvent le voir dans cet extrait: « Les Shuars ne chassent pas le jaguar. La viande n’est pas comestible et la peau d’une seule bête suffit pour faire des parures qui durent des générations. » Cet extrait démontre que ceux-ci respectent beaucoup la forêt donc ils sont écologique selon Luis Sepùlveda.

L'auteur décris les lieux de son roman de façon écologique. Il fait plonger ses lecteurs dans le monde de la jungle. Il dit à plusieurs reprises que la «Forêt est profonde». Suite à ces répétitions les lecteurs se sentent dans une immense forêt profonde. Ensuite, il décrit les animaux de façon imposant. Il leurs apporte des qualificatifs comme lorsqu'il parle du jaguar, le vieux dit «: Elle(la bête) peut les suivre et les éliminer un par un avant qu'ils n'arrivent à El Idilio ». Cet extrait prouve que lorsqu'il décrit les animaux, il les décrit de façon majestueux. L'auteur ajoute en parlant des animaux : « Malgré sa