À travers le roman « Le vieux qui lisait des romans d’amour » de Luis Sepulveda, une atmosphère écologique ressort nettement grâce à certain passages démontrant la philosophie écologiste d’Antonio José Bolivar et des Shuars, peuple amazonien vivant dans la jungle. L’extrait où le vieux ce parle à lui-même ; « tu as préparé ton dard, tu as emmailloté de toiles d’araignées la pointe acérée, tu l’as enduit de curare, tu l’as introduit dans la sarbacane, et tu as visé en cherchant la base du crâne. » démontre à quel point le passionné des romans d’amour a utilisé uniquement des articles de la jungle pour chasser cette créature. Pour ce qui est du peuple quelque peut farouche, les Shuars, l’extrait suivant démontre leurs respect pour la nature; « Les Shuars ne chassent pas le jaguar. La viande n’est pas comestible et la peau d’une seule bête suffit pour faire des parures qui durent des générations. » prouve comment les Shuars préservent les animaux donc écologiques selon l’auteur.

Non seulement que par les personnages, mais aussi par la description des paysages de jungle envahissante et débordante de vie naturel. Tout comme les animaux décrient d’une manière majestueuse. Plusieurs petits extraits de description tels que « … dans la forêt profonde… » la précision sur la profondeur de la forêt, la description du paysage avec la chaine de montagne ; « … jusqu’aux contreforts de la cordillère du Condor, terre de végétation basse … » parmi tant d’autres en quelques pages décrivant très bien les lieux comme étant sauvage. Pareillement en parlant des animaux dont l’extrait ; « Malgré sa maigreur c’était une bête superbe, une beauté, un chef-d’œuvre de grâce impossible à reproduire, même en imagination » représente une qualité d’espèce qui sort de l’ordinaire améliorant l’imagination des lieux. Ces petites touches qui perfectionnent l’état des lieux sont présentes en grands nombres tout au long de l’histoire en font un roman fortement écologique.

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