« Etre adulte, c’est être seul. » Jean Rostand.

Jean Rostand était un écrivain, moraliste, biologiste du XVIe siècle. Il étendait sa pensée que la biologie émettait une morale. Il était fort centré sur l’homme et son environnement. Dans cette citation, il fait référence à la maturité que l’humain acquière au fil du temps. Cette maturité évolue tout au long de la vie, et se développent avec les expériences bonnes ou mauvaises. Qui, pour finir, peut nous donner le pouvoir d’être seul. Mais seul dans quel sens ? Nous l’expliquerons.
Pour Jean Rostand, la maturité est aussi biologique : la transformation du corps de l’enfant à l’adolescent est une sorte de maturité qui se fait physiquement. Les cellules mûrissent pour ensuite se transformer et changer.

Mais aussi, la maturité est savoir prendre des décisions par soi-même et ainsi qu’en assumer les conséquences tout en ayant réfléchis ces prises de décisions. La maturité nous amène à être adulte, et être adulte nous amène à la maturité.
Etre adulte, d’un point de vue légal, est d’atteindre la majorité, c’est-à-dire 18ans. Mais ce n’est pas parce que nous avons 18ans que nous sommes donc matures. D’un point de vue biologique, c’est quand l’adolescent a acquis sa maturité. Etre adulte, c’est savoir se gérer seul, être conscient que nous avons des responsabilités et que si nous échouons, nous sommes totalement responsable de ce qui nous arrive ; il faut donc par exemple assumer les intérêts lorsqu’un prêt n’est pas rembourser dans les délais prévus.
En étant adulte, l’humain est indépendant, tant au plan financier qu’au plan familiale.
Le terme adulte se lie avec la maturité, savoir prendre des décisions par soi-même et en assumer les conséquences. Mais être mature n’implique pas que nous sommes adultes, car une fille de 15ans peut être mature sans pour autant être adulte.
Dans un certain sens, il est vrai qu’être adulte, c’est être seul parce qu’à partir du moment où l’on quitte le domicile familiale