Adénome

de l’estomac sont les suivants : · alimentation riche en sel, en viandes salées et fumées · alimentation faible en fruits et légumes · métaplasie intestinale · polypes adénomateux dans l’estomac (un polype est un adénome, ou tumeur bénigne, se développant sur les muqueuses.) · vieillissement (risque accru chez les personnes de plus de 50 ans) · tabagisme · antécédents familiaux · maladie de Ménétrier (gastrite hypertrophique) Les

Cancers de l’enfant  1700 nouveaux cas par an  Leucémies, lymphomes, tumeurs du système nerveux central  Survie estimée à 92% à 1 an, et à 82% à 5 ans. Tumeurs bénignes  Limitées, circonscrites, séparées du tissus normal ,  … ome : papillomes, adénome, angiome  Sauf certains cas : pas de tendance à dégénérer en cancer  Ne forment pas de métastases Tumeurs malignes  S’étend dans tous les sens, pas limitée, développement sans contrôle  Aspect évolutif  Capacités de croissance exagérée  Insensibilité

DISCIPLINES : Toutes les pathologies chirurgicales citant quelques unes vues au moment de notre stage : -Perforation d’ulcère. -Gangrène. -Hernie discale. -Traumatisme crânien. -Adénome de prostate - Lithiase vésiculaire. -Hernie inguinale (dte et gche). -Torsion testiculaire. -Eventration post opératoire. -Hydrocèle unilatérale -Fissure, Fistule anale. -Amputation + Diabète.

cardiaque pré-existante . Effets secondaires : sensations vertigineuses, troubles visuels, somnolence, anomalies du goût, constipation ou diarrhée, réactions cutanées, bronchospasme, parfois collapsus cardio vasculaire. Contre indication : glaucome ou adénome de prostate. Classe Ib Sous groupe de la lidocaïne et de ses dérivés . Mécanisme d’action : Action faible sur la phase 0 sauf si ischémie ou hyperkaliémie, noeud sinusal: pas de modification, noeud AV: pas de modification Indication : réduction

hormones hypophysaires) HYPERPROLACTINEMIE S.cliniques: Causes: aménorrhée, galactorrhée  impuissance hypersécrétion hypophyse Déconnexion (tige pituitaire)  PRL (! Stress, médicaments) ACROMEGALIE Rare, hypersécrétion de GH par un adénome Sd dysmorphique, très progressif, Dg tardif Enfant = gigantisme Peau épaisse traits massifs Sueurs diabète Douleurs déformations osseuses élargissement mains, pieds Dépression HTA I. cardiaque Dosages hormonaux: GH IGF1 non freinable (HGPO

patient qui étaient accueillis au sein du service, j’ai donc pu observer leur prise en charge. Ce jour-là j’ai accompagné l’infirmier du service pour effectuer l’entrée de monsieur R, 51 ans, qui venait pour une intervention d’ablation d’un adénome hypophysaire. J’installe le patient dans sa chambre en me présentant comme étant étudiante de première année en soins infirmiers, le patient me répond tout de suite par « il n’y a pas d’IDE dans le service ? » je lui réponds que s’il y en a mais

professionnelle N°2 Présentation de la situation : Je suis en stage dans le service de neurochirurgie. Lors de ma première nuit, au 1er tour vers 22h, je rentre dans la chambre de Mme B, elle doit être opérée le lendemain à 8h sous anesthésie générale d’un adénome hypophysaire. Je demande à Mme B si elle a pris la douche à la beta scrub, je lui explique qu’à partir de minuit elle doit rester a jeun, et lui donne la prémédication. Mme B se met à pleurer tout d’un coup. Je lui demande ce qu’il lui arrive. Elle

permanante des extrémités, surtout des mains. AD : Rapprochement Adduction mouvement qui consiste à rapprocher un membre ou un segment de membre du corps ADEN/O : ganglion Adénite : inflammation des ganglions Adénome : tumeur qui se développe aux dépens d’un ganglion Adénopathie : affection des ganglions ALGIE : douleur Gastralgie : douleur au niveau de l’estomac Coxalgie : douleur au niveau de la hanche Névralgie : douleur située sur le trajet

d’analgésiques ou en raison d’une déficience cognitive du patient. Le globe vésical : c’est la vessie distendue par une rétention d'urine. Il est plus fréquent chez l'homme que chez la femme. Il est très souvent dû à un obstacle sur la voie urinaire (adénome de la prostate, notamment), à un rétrécissement de l'urètre ou, plus rarement, à un dysfonctionnement neurologique de la vessie (atonie du muscle vésical, par exemple). Chez la femme, le globe vésical est le plus souvent provoqué par une compression

rénale aigue : est un dysfonctionnement transitoire et réversible des reins, provoqué par une hémorragie, une infection générale (septicémie), une intoxication médicamenteuse ou l’obstruction des voies urinaires par exemple (calculs, adénome prostatique). Le recours à la dialyse est alors indispensable. Elle permet au patient de survivre pendant le processus d’autoréparation rénale qui se met en place une fois le patient stabilisé. L’insuffisance rénale chronique :