Allen Ginsberg

en réalité est Neal Cassady, que l'on retrouve sous le nom de Dean Moriarty dans le roman. Le roman, et le voyage amènent le narrateur et son compagnon à croiser de nombreuses personnes, que les observateurs reconnaitront aisément, que ce soit Allen Ginsberg qui est en dans le roman Carlo Marx ou alors par exemple William Burroughs qui est appelé Old Bull Lee, qui ne sont autres que des auteurs, du même mouvement que Kerouac, des amis, de la même génération d'artistes. Le roman est le récit des

15 /182). Les personnages secondaires sont Rémi Boncoeur (p. 93), Chad King (p. 9), Ed Dunkel (p. 279), Terry (p. 125), Tim Gray (p. 9), Inez (p. 383). Le nom du narrateur, Sal Paradise, vient d’une erreur de lecture d’un vers d’Allen Ginsberg : « Sad Paradise », « Triste Paradis ». Dean Moriarty est le pseudonyme donné par Kerouac à Neal Cassady puisque ses éditeurs lui refusèrent le droit d'employer les vrais noms. Le nom “Moriarty” fait penser au célèbre professeur Moriarty, l’adversaire

entre quatre hommes : Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Neal Cassady et William Burroughs. Jack Kerouac est représenté comme le précurseur et l’emblème de la Beat Neal Cassady et Jack Kerouac Generation. Fils d’ouvriers québécois à Massachusetts dans une ville pauvre et ouvrière, il est admis à 16 ans à la prestigieuse Columbia et se fait rapidement des amis dans le cercle homosexuel de New-York Allen Ginsberg dont Neal Cassady, William Burroughs et Allen Ginsberg. Tous les quatre auteurs littéraires

Le terme de « Beat Generation » fut employé pour la première fois en 1948 par Jack Kerouac pour décrire son cercle d'amis au romancier John Clellon Holmes (qui publiera plus tard le premier roman sur la Beat generation) William Burroughs, Allen Ginsberg et Jack Kerouac sont les précurseurs du mode de vie de la jeunesse des années 1960, celle de la Beat Generation, « qui a ébranlé la société américaine dans ses certitudes. Elle a directement inspiré aussi bien les mouvements de mai 1968 que l’opposition

New York. Mais après sa mise à l'écart de l'équipe de football, il met fin à ses études et va vivre chez une ancienne petite amie. Il rencontre ses futurs camarades de voyages, membres de ce qu'il va nommer la Beat Generation. Quelques noms : Allen Ginsberg, Neal Cassady, William Burroughs (qui reste toujours en marge des Beats). Il s'engage en 1942 dans la marine marchande, puis dans la marine militaire, mais n'est pas mobilisé pour la seconde guerre mondiale. Entre ses voyages, il est à New

vous étiez l’emblême de la Beat Génération. Sans parler de votre dégaine, vous étiez de jeunes gens chevelus et débraillés. Al – Oui, mais nous étions avant tout de très grands amis. Les trois « anges de la Beat Generation » Will Burroughs, Allen Ginsberg et moi-même. Nous nous manifestions à travers des écrits mais surtout des poèmes pour permettre un changement dans la conscience des jeunes américains sensibles à l’esprit de révolte contre le conformisme de l’époque. Nos œuvres littéraires étaient

années 1950-1960 des jeunes, des écrivains (A. Ginsberg, J. Kerouac [Sur la route, 1957], W. Burroughs), des artistes peintres de l'Action Painting et un poète-éditeur (L. Ferlinghetti). Le sens du mot beat est incertain : il peut signifier « battu », « vaincu » ou « battement » (par allusion au jazz), ou encore exprimer la « béatitude ». On retrouve cette racine dans beatnik (nik, gars) ; beatpeut s'employer seul comme adjectif. Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Gregory Corso, Lawrence Ferlinghetti, jeunes

par Jack Kerouac pour décrire son cercle d'amis au romancier John Clellon Holmes. John Clellon Holmes définit le mouvement dans un article publié dans le New York Times en novembre 1952 : « This is the Beat generation ». William Burroughs, Allen Ginsberg et Jack Kerouac sont les précurseurs du mode de vie de la jeunesse des années 1960, celle de la Beat Generation. Elle a directement inspiré aussi bien les mouvements de mai 1968 que l’opposition à la guerre du Vietnam, ou les hippies. II –

explicite.  On a souvent affirmé que le mot « Beat » signifiait déprimé ou dégoûté. Mais Jack Kerouac réfutait pareille définition et affirmait que « Beat » évoquait le rythme de jazz, et était une autre façon de dire « Béatitude ».  De plus Allen Ginsberg, dans une formule frappante a décrit les Beatmen comme étant des « hipsters à têtes d’anges ». Il a donc insisté sur les deux aspects qui caractérisaient la nouvelle génération : la révolte et l’attitude religieuse. Car « l’hipsterisme » faisait

son cercle d'amis. «Howl » d'Allen Ginsberg (1956), «Le festin nu » de William S. Burroughs (1959) et « Sur la route » de Jack Kerouac (1957) sont les œuvres les plus marquantes de la littérature beatnik. Ce mouvement a d'autant plus choqué l'Amérique puritaine par l'homosexualité assumée de plusieurs de ses membres. « Howl » et « Le Festin nu » furent poursuits en justice pour obscénité, marquant la libération du monde de l'édition. William Burroughs, Allen Ginsberg et Jack Kerouac sont les précurseurs