Amour Fait Souffrir

éperdument amoureuse. Bérénice est un personnage tourmenté au fil de la pièce a la fois par Titus, qui ne veut pas avoir de discussion concrète avec elle concernant leurs futur projets ni sur son amour envers elle :« Seigneur ? étais-je au moins présente à la pensée ? » (Acte II scene2). Le personnage de Bérénice fait passez des émotions au

Léautaud.                             Et je chantais cette romance                             En 1903 sans savoir                             Que mon amour à la semblance                             Du beau Phénix s'il meurt un soir                             Le matin voit sa renaissance.Un soir de demi-brume à LondresUn voyou qui ressemblait àMon amour vint à ma rencontreEt le regard qu'il me jetaMe fit baisser les yeux de honteJe suivis ce mauvais garçonQui sifflotait mains dans les pochesNous semblions

V. est le seul à croire qu’il fait des exploits dans son histoire avec T. et M. lui dit que tout le monde est capable de faire ça. L. 15-25 Tout ce que V. a fait dans cette histoire il l’a fait par occasion (genre coucher avec Emilie). Elle concède que cette fois il l’avait préalablement prévu. L. 25-26 V. n’aime pas T. de manière romanesque (comme Danceny pour Cécile, par exemple) Troisième partie : Jalousie et reproche- l. 27-59 Dans cette partie M. fait preuve de beaucoup de jalousie

amoureuse domine cette scène. C’est bien Roxane qui provoque la déclaration de Cyrano avec une interrogation partielle et directe « Quels mots me direz-vous ? » v.1442. Le fait qu’elle utilise « mots » au pluriel montre bien qu’elle attend une déclaration d’amour et non des paroles en l’air. Cependant après cette question, Roxane fait seulement 2 brèves interventions dont une interrompue par Cyrano. Nous pouvons parler d’une déclaration car le champ lexical du discours, de la parole ou bien de la

véritable amour arrive comme ça, et te poursuit pour le restant de ta vie. Un amour de jeunesse peut être, mais surement le plus beau de tous. Être amoureuse, et malheureuse. C'est triste, mais souvent la vérité. Se forcer a sourire, a répondre " Oui, ça va." alors que le mascara coule, avoir la boule a la gorge, les yeux qui piquent, et être impuissante face a ça. Essayer de l'oublier, c'est se refuser d'admettre que notre coeur lui appartient malgré tout. Il m'a fait du mal, il m'a fait souffrir, il

force de l'amour elle est consciente de la joie qu'elle a devant lui ? gagnée en lucidité présence de l'hô qu'elle aimée ? absence, elle n'est plus soutenue par lui, généralisation, ne pas nommer = classicisme comparaison « comme un songe », cet amour elle ne peut pas le vivre dans la réalité car elle l'idéalise « elle regarda […] alors » regarder = elle s'analyse, mise à distance de sois, elle est étonné prodigieuse (hyperbole), l'amour est capable de faire des miracles, des prodiges, enjeux de

l'arrivée d'Arnolphe (Acte IV, scène 6), confirme le fait qu’elle est devenue capable de lutter pour son amour : elle est devenue femme. Arnolphe lui-même signale cette évolution dans la scène 4 de l'acte V : “Et vous savez donner des rendez-vous la nuit / Et pour suivre un galant vous évader sans bruit.” Mais, en devenant femme, elle a perdu son “innocence”, dans le sens étymologique du mot, c’est-à-dire qu’elle a acquis le pouvoir de faire souffrir l'homme, de “faire du mal”. Incapable de créativité

souffrance des personnages ? Note : Prendre plaisir à voir et faire souffrir, voilà peut-être une définition de la cruauté. A celle-ci ne peut se rapporter que la souffrance qui correspond à la douleur physique ou morale de celle ou de celui qui souffre. Cette souffrance peut parfois s’apparenter aux personnages de la comédie (du fait que dans la comédie, les personnages sont régulièrement amener à souffrir, physiquement ou moralement). Celle-ci se définit dès l'Antiquité, par opposition

souvient de ces dernières paroles, elle lui tiennent a la fois très a coeur mais montre aussi qu’il s’aprete a mourir. Les paroles de la ligne 8 "Chéres épouse" ainsi que la ligne 12 "heureux hymen" apporte a Andromaque une sorte de soulagement que son amour envers son défain est réciproque. Astyanax va garder une empreinte de son père en lui, Racine utilise une métaphore entre les liens de parentés du père et du fils "et l’image d’Hector?" leurs ressemblance paraît frappante. A la ligne 15 "ses aieux"

une quête chevaleresque proposée comme remède. Les épreuves de la quête doivent accroître le mérite amoureux de l’amant chevalier auprès de sa dame. Le récit vise en effet à réciter les calamités et extrêmes misères que les jeunes hommes peuvent souffrir en aimant indiscrètement. Il désigne le comportement peu courtois de l’homme comme la cause principale des difficultés de ce dernier. Le texte rend donc le témoignage de la force de l’aventure, avec une série d’épreuves susceptibles de modifier considérablement