Anaphore Chez La Fontaine

 INTRODUCTION Jean de la Fontaine est connu pour ses fables bien qu’il s’illustre dans plusieurs genres littéraires prisés du Classicisme auquel il appartient : théâtre et poésie notamment. Le public retient surtout ses Fables, dont la publication s’étale sur près d’un quart de siècle, et qui s’inscrivent dans l’art de l’apologue. La fable La Vieille et les deux Servantes est comprise dans le livre V du premier des trois recueils, dédié au Dauphin (Louis de France). Elle est inspirée d’une fable

Objet d’étude numéro 1 : La question de l’homme dans les genres argumentatifs du XVIe siècle à nos jours. Convaincre -> La raison, l’intelligence Persuader -> Sentiments, cœur Cette fable est la IV du 4éme livre des 6 de La Fontaine en 1668. Elle met en scène un paysan aisé qui vient demander de l’aide à son seigneur car un lièvre vient détruire ses récoltes. Lecture Analytique Numéro 1 : Le jardinier et son seigneur Nous étudierons d’abord comment le poète met en scène son histoire

La Fontaine, Fables, Le Philosophe Scythe Rappel : - Virgile : Ecrivain Roman qui a écrit l’Enéide - Platon chercha à montrer la supériorité de la philosophie sur l’art oratoire notamment dans le Gorgias. Il encourageait également à rechercher la vérité comme moyen d’accès au bonheur. - Philosophie: l’ami de la sagesse -philophe = amis -Sophia = sagesse - Stoïcisme : Effort que fait l’homme pour accéder a la vertu et qui impose d’annihiler sensations et sentiments, d’accepter un certain

LA FONTAINE « LES DEUX COQS » ELEMENTS DE CORRECTION DU COMMENTAIRE COMPOSE Eléments pour une intro Extrait du livre VII [fable 12 ou 13 selon les éditions qui réunissent parfois les fables 4 et 5 « Le héron » et « La fille »]. Inspirée d’une fable d’Esope « La deux coqs et l’aigle » [Traduction française extraite du Millot reprise sous le titre « Les coqs » (page 160) : « Deux coqs se combattaient pour savoir qui demeurerait le mari des poules, l'un tourna l'autre en fuite, et le vaincu

elle contient en elle-même le réponse. * Critique de Perdican au tour de trois thèmes : lui « tu me refusait un baiser de frère », la Nature « la pauvre petite fontaine », l’Enfance « tu reniais les jours de ton enfance » * Après le « mais », le cœur devient sujet de l’action synecdoque. * Le cœur seule chose de vraie chez Camille. * Sentiments opposés à la raison. * Camille finalement ne contrôle pas ses sentiments : « cœur » = sujet, elle en est dépendante. * « J’avais

contraire de blâmer. Pourtant nous verrons que ces deux démarches ont des points communs. Texte n°1 Introduction : • La Bruyère est issu de la petite bourgeoisie. Il devient précepteur et secrétaire chez les Condé au château de Chantilly. Il fréquente des nobles et l’élite de l’époque (Molière, La Fontaine, …). Il souffre d’être considéré comme un subalterne. • Les Caractères sont un recueil de portraits satiriques publié en 1688. Comme tous les auteurs classique, il puise son inspiration dans l’Antiquité

Envoyé par Sophie. Fable de La Fontaine : La Mort et le mourant – Commentaire. Ce que l'on nomme les fables de La Fontaine est en fait le regroupement d'environ 240 fables réparties dans 3 recueils eux-mêmes divisés en douze livres. Le premier recueil publié en 1668 est composé des livres I à VI, le second publié en 1678 est composé des livres VII à XI et le dernier publié en 1693, un an et demi avant la mort du poète, se compose du livre XII. À la lecture des titres des fables on pourrait croire

: vers octosyllabe - Rimes plates : v. 64, 65, 66 - Rimes croisées : « jours, misère, retour, sévère » - Rimes embrassées : v.35, 36, 37, 38. La Fontaine essaye d’éviter la monotonie. - Alexandrins, décasyllabes, octosyllabes. II. Dénonciation de l’impérialisme : violente polémique 1) Réfutation de la thèse La Fable chez Lafontaine peut avoir une force subversive. Ici, contre l’impérialisme (Louis XIV), il dénonce la barbarie de l’oppresseur. Thèse : « Rome est par nos forfaits

textes étudiés, de Montaigne, de La Fontaine et de La Rochefoucauld caractérisent chacun un genre littéraire différent. Les trois auteurs s'y accordent ou non sur la notion d'amitié. Tout d'abord, le texte de Montaigne est un essai autobiographique, c'est a dire, une œuvre de réflexions portant sur un sujet précis, ici l'amitié, et exposé de manière personnelle. Montaigne raconte dans ce passage sa propre rencontre avec son ami. Ensuite, le texte de La Fontaine est un apologue avec un récit qui

position dans l’affaire Dreyfus. Son article polémique prend la forme d’une lettre ouverte au président de la République dévoilant ses talents d’orateur. En effet, il y utilise de nombreux procédés oratoires tels que les phrases exclamatives ou les anaphores. Cette lettre est d’autant plus forte qu’il utilise des hyperboles et un vocabulaire riche et agressif portés par un rythme vigoureux et rapide.« Moi, j’écris pour agir », disait Voltaire. Et c’est dans ce même état d’esprit que des auteurs comme