Anaphore Chez La Fontaine

« Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme

sa pensée ou la suite grammaticale de sa phrase. - Le nez de Cléopâtre, s'il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé. (B. Pascal) - Et, pleurés du Vieillard, il grava sur leur marbre Ce que je viens de raconter. (J. de La Fontaine) Anadiplose F- (disp.) Synonyme : Dorica Castra Procédé par lequel le dernier mot d'une proposition ou expression est utilisé (phonétiquement ou absolument) comme premier mot de la deuxième proposition, et ainsi de suite, selon le schéma : ----A

exclamations « Hé mon Dieu ! » « Ha, vous niez ! » interpelle le lecteur. Le discours du député Victor Hugo devant ses collègues en 1850, fait quant à lui apparaître la diversité des procédés oratoires: la fréquence des phrases exclamatives, les anaphores comme "Figurez-vous...", les énumérations, les métaphores saisissantes. L'éloquence d’Hugo ou Zola est aussi au service du registre pathétique. Il s'agit de faire partager la colère et la souffrance. Colère de celui qui prend la parole et la plume

veut persuader Rosette de son amour. Tout d’abord, nous pouvons constater l’utilisation de la thématique « du théâtre dans le théâtre » En effet, dans cette scène, Perdican met en scène son rendez-vous avec Rosette, il choisit de l’emmener à la fontaine, lieu significatif pour Camille puisque c’est à cet endroit que Perdican lui avait déclaré son amour lors de la scène 5 de l’acte 2. Perdican choisit également des objets significatifs tels que la bague et la chaîne comme l’indiquent les didascalies

l'efficacité de la critique Dans un premier temps, nous pouvons voir que la poésie satirique, s'avvert une manière efficace de la critique, et une manière de ne pas ce faire censurer. En effet dans les fables de la fontaine, notamment dans la fables de «  la jeune veuve » ou jean de la fontaine critique l'aspect arrogant et égoïste de cette jeune femme venant de perdre son mari, donnant pitié au lecteur alors qu'elle ne mettra pas bien longtemps a oublié l'homme qu'elle vient de perdre. Ce procédé satirique

apostrophes et interjections. Auteurs : Eschyle, Sophocle, Euripide (auteurs grecs), Sénèque (auteur latin), Corneille, Racine, Musset, Ionesco, Beckett…. Un registre pathétique (la souffrance d’un être faible confronté à la violence et suscite la pitié chez le lecteur.) Les genres de prédilection sont la tragédie et le mélodrame. Indices : champ lexical de la souffrance ; métaphore, hyperboles ; ponctuation expressive : phrases exclamative et interrogative ; interjection. Auteurs : les auteurs romantiques

Pierre puis de Jean et ils sont placés ensuite au même niveau car ils l'ont eu en même temps. A la fin du passage le narrateur nous explique la jalousie qu'éprouve Pierre envers Jean depuis tout petit. Comparatif d'égalité « aussi … que.. », une anaphore « Tous les deux … Tous les deux ...». Jalousie « Fraternelle et inoffensive inimitié » = oxymore. Lexique : « s'épiaient », « vagues » ; « dormante » ; « éclatent ». « Certes ils s'aimaient, mais ils s'épiaient ». métaphore animale. → sentiment «

fable de La Fontaine. Victor Hugo est passioné de numerologie (science oculte), cette fable s’incrit dans le III, 3 qui se refere à la fable “Le Loup devenu Berger” (voir classeur). Dans ces deux fables les auteurs parlent d’usurpation, dégradation de ces animaux puissants. Chez La Fontaine le loup se trahit seul, tandis que chez Victor Hugo il y aussi dévoilement mais ca sera par l’action d’un autre personage, qui intervient pour résoudre la scène, le belluaire. Dans le texte de La Fontaine il y a une

 INTRODUCTION. « Les Deux coqs » de La Fontaine est la 12ème fable du VIIème livre du deuxième recueil publié entre 1678 et 1679. Cette fable reprend celle du fabuliste grec Ésope, intitulée « Les Deux coqs et l’Aigle ». Cette fable raconte la rivalité de 2 volatiles, auprès d’une poule. Cette scène est comparée à la Guerre de Troie qui oppose les Grecs et les Troyens, en raison de l’enlèvement d’Hélène par le prince Pâris. Ce dernier, par amour, la vole à son mari Ménélas. Ménélas fait appel à

la guerre est elle une catastrophe générale ? Plusieurs thèmes abordés qui suivent l'ordre du poème : Division de la famille. 1. Beaucoup d'accumulation : rythme binaire → « contre » : il juxtapose et oppose. 2. Champ lexical de la famille + anaphore « contre ». 3. 4. Parallélismes de constructions. 5. = mise en évidence des batailles entre les membres d'une même famille → DESTRUCTION DES LIENS. 6. Rythme rapide du aux enjambements → désordre. 7. « ont sens dessus dessous » : « sens » =