Anti-inflammatoire non stéroïdien

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La Goutte 1 Introduction La goutte est caractérisée par une augmentation de l’acide urique et aboutissant à des précipitations uratiques dans différents tissus, surtout dans les articulations. Etiologie : – goutte secondaire :insuffisance d ’élimination ou excès de production – goutte primitive : surtout chez l ’homme : origine multifactorielle (aliment, déficit enzymatique ou de l ’élimination) 2 Tracement de la crise Colchicine à 3 mg à j1, puis diminution jusqu’à 1 mg. Antalgiques

actions sur prescription: PROFENID; PERFALGAN; séance de kiné (long terme) Evaluation: a ce jour, MM note sa douleur à 5/10; TA: 12/6 Pb: Perturbation des habitudes de sommeil R/A la douleur se manifestant par un sommeil perturbé (ca fait bizarre non comme phrase?!!) Obj: MM retrouve un sommeil réparateur action IDE: aider MM a trouvé une position indolore et confortable; evaluer la douleur; surveiller TA, pls, temp° action sur prescription: PROFENID; PERFALGAN evaluation: MM a passé une bonne

mises sur le marché échelonnées possibles 14 extension d’indication nouveau nom de marque. Ex : le cas des anti-inflammatoires AINS (acide acétylsalicylique ou aspirine, indométacine, ibuprofène, kétoprofène…) selon la dose administrée anti-inflammatoires + antalgiques, antipyrétiques antiagrégants plaquettaires 15 Ex : l’acétylsalicylate de lysine Anti-inflammatoire, antalgique et antipyrétique Aspégic® 1000 mg : effet secondaire antiagrégant plaquettaire Kardégic® 160 mg :

l’antalgique – NON : pour le dextropropoxyphène Produit retiré du commerce depuis janvier 2011 NIVEAU I : Paracétamol • Bonne tolérance • Antalgique de choix chez le jeune enfant et la femme enceinte • Toxicité hépatique à très forte dose et en cas d’insuffisance hépato-cellulaire • Adaptation posologique en cas d’insuffisance rénale Douleurs d’intensité modérée Une prise / 4-6 heures NIVEAU I : Aspirine • Effets de l’aspirine – – – – Antalgique Antipyrétique Anti-inflammatoire Antiagrégant

Antalgiques périphériques ou antalgiques non opiacés (palier I) On peut les qualifier d'usuels car ils sont ceux que chaque foyer garde dans sa pharmacie. En effet, ils sont utilisés dans le traitement des douleurs légères à moyennes. Ils agissent comme des inhibiteurs de la cyclo-oxygénase. Cette enzyme est responsable de la formation de prostaglandines, qui elles-mêmes causent la douleur. Ces antalgiques sont dits périphériques car ils agissent au niveau local et non sur la transmission des signaux de

supérieur à celui de l’homme et dont les effets indésirables des médicaments liposolubles sont augmentés. -Elle est polypathologique (cataracte, hypertension, arythmie, dépréssive ,arthrose) -Elle est polymédicamentée : deux hypertenseurs, un anti-arythmique, un anticoagulant, un anxiolytique. Ces médicaments peuvent interagir entre eux et donc majorer le risque d’effets indésirables. Elle a un risque de dénutrition , car elle a perdu l’appétit. -Elle a un risque d’entrave au bon usage

fait sa toilette du haut, je prépare mon matériel pour l’aider à faire sa toilette du bas. Une AS me rejoint afin de pouvoir m’évaluer sur la toilette (pour ainsi valider ma compétence 3). Alors que je commence la toilette de la jambe gauche (jambe non opérée), Mr M se crispe, ferme les yeux et se plaint de douleurs. L’AS présente dans la chambre, essaie de rassurer Mr M en discutant avec lui, lui tient la main et me demande de continuer ce que je fais. Durant le reste de la toilette, Mr M parait

(bétadine), nous lui prenons ses constantes, le rassurons sur l'intervention et lui donnons son heure de passage au bloc opératoire qui est à 8h00, TA :15.8 ; Pls : 65 ; T° : 36,2 ; O2:99 % ; 3 Retour de bloc à 15h30 : M. F. est bien réveillé, non algique ( EVA à 0 ), il a une Voie Veineuse Périphérique (vvp), 1 bionolyte G5 sur 24h00, 1 KT péri nerveux à l'aine droite qui diffuse de la Naropeine en continu ( analgésique et anesthésiant utilisé en post-op immédiat), 1 drain de redon « Bellovac »

La polyarthrite rhumatoïde La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire systémique qui peut affecter de nombreuses articulations. Il n’y a aucun moyen de guérir la polyarthrite rhumatoïde, Cependant, lorsque la maladie est diagnostiquée très tôt et que les patients reçoivent un traitement sans attendre, ils peuvent éviter des lésions à leurs articulations et mener une vie active. LES CAUSES Environ un adulte Canadien sur 100 souffre de polyarthrite rhumatoïde. Les causes de la polyarthrite