Apologie De Socrate

Qu’est ce qu’un Homme libre ? Références : Platon : « Apologie de Socrate » Descartes : 1ère partie du « Discours de la méthode » Montaigne : « Les Essais »  § Solitude 1) La liberté en tant qu’indépendance Il est peut être plus facile de définir tout d’abord la liberté de façon négative. Autrement dit, je suis ou serais libre dans la mesure où je suis en retrait, à distance de mon éducation, de mes connaissances, de mes origines sociales, de ma religion. Je suis aussi libre par conséquent si je

Socrate était le fils d'un tailleur de pierre et d'une sage-femme, né à Athènes au siècle de Périclès vers -470.Il avait un enfant de sa femme Xanthippe et peut-être deux autres d'un second mariage.Socrate participait aux combats de la guerre du Péloponnèse contre Sparte, notamment à la bataille de Potidée, vers -430 et avait sauvait la vie de Xénophon à Délion (-424). Sa physionomie est présentée comme celle d'un satyre. Sa laideur, perçue comme un signe d'intempérance et de vice, scandalise les

APOLOGIE DE SOCRATE 1. a) L’activité philosophique de Socrate est preuve d’amitié envers les citoyens d’Athènes puisque Socrate agit de cette façon afin de les aider à être de meilleurs humains. En les soumettant à examen, Socrate leur permet de réaliser qu’ils sont en réalité ignorants. De cette façon, il croit leur rendre service puisqu’en réalisant qu’ils ne savent pas, ils chercheront à connaitre la vérité. b) Socrate ne voit pas la mort comme un grand mal puisqu’il croit que c’est de

Selon Socrate, la réflexion sur le moi, sur le vécu permet d’atteindre une forme de sagesse, puisque ça permet d’atteindre la vérité de l’âme qui amène à la raison qui, à son tour, conduit à la sagesse. Citation et référence : « Ce n’est pas d’ailleurs que je ne trouve pas beau d’être capable d’instruire des hommes […] En tout cas, je serais moi-même bien fier et bien glorieux, si je savais en faire autant; mais, franchement, Athéniens, je ne le sais pas. »1 1Platon, Apologie de Socrate, Paris

 SOCRATE PAROLES 1 Lachès (jeune athénien) : «Ne sais-tu pas que celui qui approche Socrate de très près et rendre en dialogue avec lui, même s’il a commencé d’abord à parler avec lui de tout autre chose, il ne s’en trouve pas moins forcé d’être entraîné en cercle par ce discours, jusqu’à ce qu’il en vienne à devoir rendre raison de lui-même aussi bien quant

Platon Apologie de Socrate1 Traduction, notices et notes par Émile Chambry La Bibliothèque électronique du Québec Collection Philosophie Volume 3 : version 1.01 Préambule Socrate était parvenu à l’âge de soixante-dix ans lorsqu’il fut accusé par Mélètos, Anytos et Lycon de ne pas reconnaître les dieux de l’État, d’introduire de nouvelles divinités et de corrompre la jeunesse. La peine requise contre lui était la mort. Dans ce concert d’accusateurs, Mélètos représentait les poètes, Anytos les artisans

Socrate (470-399) En résumé Socrate n’a rien écrit ; il discute avec les gens (ironie et maïeutique) et leur montre qu’ils ne savent rien ; lui-même prétend ne rien savoir : « tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien » En distinguant ainsi savoir et opinion, Socrate est le fondateur de la rationalité et de la philosophie (Descartes introduira une révolution comparable, lui aussi par l’application d’un doute méthodique, au XVIIe siècle) Cette reconnaissance de notre ignorance

Les influences culturelles | |5.2 Les premiers philosophes | |5.3 Socrate | |5.3.1 L'invention du concept | |5.3.2 Le dialogue

entre Socrate et Théétète date de 399, peu avant son exécution. Théétète le rencontre et il discute de la science avec lui. Cette rencontre est à l’origine d’une discussion entre Théodore (Mathématicien grec) qui est le précepteur de Platon, qui à fait la découverte d’un jeune homme prestigieux, doué pour la science. Socrate est tellement satisfait à son tour, qu’il en parle à un certain Euclide, qui lui prend en note ce que Socrate lui a dit et reconstitue par écrit ce dialogue entre Socrate et Théétète

1) Présentation : En 399 avant J.C , Socrate est traîné en justice par trois de ses concitoyens athéniens : Mélétos , un jeune poète , Lycon un orateur et Anytos , homme politique et chef de file du parti démocrate . Ceux-ci déposent contre lui deux "chefs d'inculpation". Ils le jugent coupable des crimes suivants : l'impiété et l'introduction de nouveaux dieux dans la cité d'une part la corruption de la jeunesse par des propos tendancieux , d'autre part .Les véritables motifs de l'accusation ,