Arsène Wenger

les hommes et l'au-delà et toute son énergie, il la consacre à s'élever, à se détacher des contraintes matérielles. BAUDELAIRE - LE SPLEEN DE PARIS , L'ETRANGER Poème paru en 1862 parmi quatorze petits poèmes en prose précédés de la dédicace à Arsène Houssaye, puis dans l'édition posthume de 1869, placé en tête du recueil comme ouverture. I/ ASPECT ET STRUCTURE Texte se présentant sous la forme d'un interrogatoire tendant à percer le mystère d'une identité, consciente de sa différence. Disposition

Quel est la place du rire, qu’en est -il ? Le rire a une fonction sociale, il permet de rire librement avec d’autres, de se libérer, d’éradiquer toutes formes de discrimination dans un groupe. Il rassemble pour exclure, rejette pour rallier, c’est un rire positif et n’est en aucun cas destructeur pour un groupe vis-à-vis de ses membres. Ce rire la est exclusif, certaines personnes se sentent rejeter par cela, il arrive même qu’il soit mauvais pour la personne non concernée. Rire est bien pour

en prose ». Je me suis servi de son livre qui était malheureusement tombé dans l'oubli. Question 20: La prose est généralement considérée comme inférieure à la poésie. Pourquoi l'avoir ici privilégiée ? Nous savons que vous vous en êtes expliqué à Arsène Houssaye, mais pas devant nos lecteurs ! Réponse : Pour moi, le poème en prose est la plus apte à traduire la sensibilité et plus particulièrement celle de la vie moderne. Question 21 : Un terme revient sans cesse sous votre plume, celui de « spleen »

rêve, l'espace, la beauté. La confession porte donc sur l'orgueil du poète, qui essaie d'imiter le beau alors que c'est un défi impossible... Mais le poème en avouant l'échec, donne à voir (hypotypose) donc c'est une réussite (rappel de la lettre à Arsène Houssaye « L’etranger » Le poète expose ses intentions ses aspirations vers un au-delà. Le poète se donne se montre comme étant un être différent. Il ne se sent pas bien dans notre monde. Dans le texte on retrouve des sensations d'isolement, l'impression

BAUDELAIRE - LE SPLEEN DE PARIS ,  L'ETRANGER Poème paru en 1862 parmi quatorze petits poèmes en prose précédés de la dédicace à Arsène Houssaye, puis dans l'édition posthume de 1869, placé en tête du recueil comme ouverture. I/ ASPECT ET STRUCTURE Texte se présentant sous la forme d'un interrogatoire tendant à percer le mystère d'une identité, consciente de sa différence. Disposition typographique particulière du texte : des tirets, des interrogations systématiques qui accrochent l'œil Contraste

cependant tout aussi fascinant grâce à sa diversité, et c’est de cette vision d’horreur que Baudelaire s’inspire principalement pour écrire le Spleen de Paris. Le texte Poème paru en 1862 parmi quatorze petits poème en prose précédés de la dédicace à Arsène Houssaye puis dans l’édition posthume de 1869, placé en tête du recueil comme ouverture. EXPLICATION DE TEXTE En quoi Charles Baudelaire présente-t-il le poète comme une figure de l’étrangeté ? Ce texte présente trois caractéristiques que

Mademoiselle de Maupin (1835), qui fait scandale. Quittant le domicile familial, place des Vosges, Théophile Gautier s'installe impasse du Doyenné, à l'emplacement de la place du Carrousel, dans un appartement où il a comme voisins Camille Rogier, Arsène Houssaye et Nerval[2].

de l’argent ». Il a déjà commencé son chef d’œuvre : L’Aiguille creuse. Il écrit, en réponse à une critique émise par un confrère : « …Avant Lupin, je défie qu’on trouve dans un seul journal un seul véritable article sur un seul de mes livres… puis Arsène Lupin, puisque l’occasion s’offrait.... » En 1912, Maurice Leblanc est reconnu par ces pairs. Il a été décoré de la Légion d’honneur et il habite dans un hôtel particulier du XVI° arrondissement de Paris. Divorcé, il y vit avec sa deuxième femme

vivre, la tristesse du poète confronté aux échecs de toutes natures. Il choisit la prose, plus propre selon lui à « s’adapter aux mouvements lyriques de l’âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience ». (Extrait d’une lettre à Arsène Houssaye 1862.) La lecture suscite les réactions suivantes : c’est très bien construit, il y a un message, cela ressemble à une fable. Pourquoi est-ce que c’est poétique ? Quel est exactement le message, est-ce qu’il y a un message implicite

On constate que ZOLA utilise "naturaliste" (l.1) pour parler de MANET, pour ZOLA dire de quelqu'un qu'il est un naturaliste est un compliment. Dans la deuxième partie (péjorative) ZOLA parle d'Arsène HOUSSAYE, le directeur de journal l'Artiste. Arsène HOUSSAYE était l'un des principal détracteur de MANET. ZOLA utilise "vous" (l.25) pour le rendre plus vivant et interpeler le lecteur. Il utilise aussi une oxymore "ils ont la technique mais pas le talent" (l.26) pour parlez des autres peintres, pour