Arte Povera

Cinquième, 2000. Gössel, Peter, Leuthaüser, Gabrielle. L'architecture du XXe siècle. Volume 2. Taschen, 2005 L'art du XXe siècle : de l'art moderne à l'art contemporain : 1939-2002 . Citadelles & mazenod, 2005 Copans, Richard. Architectures. 1 [DVD]. Arte ; Réunion des musées nationaux, 2001. 1 DVD (2 h 40 min).- ISBN 2-281-19139-7.- Code barre : 9782281191394 Voyage au Centre Pompidou [Périodique] . Dada, janvier 2007, n° 125 Le Musée Guggenheim, Franck O. Ghery (Bilbao-Espagne, 1997) Télé-langues

incessante de mouvements, manifestes : fauvisme, expressionnisme, cubisme, futurisme, art abstrait, dada, nouvelle objectivité, surréalisme, expressionisme abstrait, action painting, art cinétique, pop’art, nouveau réalisme, art conceptuel, body art, arte povera, land art… - Remise en question de la nature et de la fonction de l’art. Transgression des codes de figuration. Ruptures des avant-gardes et expérimentations. Diversité des modes d’expression. - Post-modernisme en architecture. Le Corbusier. Pyramides

a trouvé son terrain de jeu dans l’univers de l’anti-mode, un concept sombre, violent, conceptuel qui voit le jour au début des années 90 où le contexte socio-culturel nous fait passer de Tchernobyl à la crise économique. La mode « arte povera » voit le jour. A coup de déconstruction, disproportion, recyclage et défilé performance, ce mouvement s’éloigne totalement de la vision glamour de la mode. L’anti-fashion ou l’anti-mode, ce n’est pas suivre les tendances mais les créer. C’est

instance extérieure, religieuse ou politique, mais qu’ils défendent désormais des points de vue qui leur sont propres. Ainsi se regroupent-ils et rassemblent-ils leurs idées motrices au sein d’un manifeste. Le dernier manifeste sera celui de l’Arte Povera en 1968. Les futuristes italiens étaient contemporains des cubistes (avant-gardes sans manifeste). L’esthétique futuriste sera détaillée dans quelques deux cent Manifestes. Dans l’ensemble, les créations formelles des futuristes resteront en

XXème siècle, un bon nombre de courants artistiques remettent en cause la notion de singularité et celle de l’auteur. En exposant des objets de récupération (Pop’ Art), des œuvres destructibles ( Land’ Art) ou des œuvres faites d’objets banals (Arte Povera), ils sapent au fond les bases de la créativité à savoir l’originalité et la propriété. D’autres vont pousser l’entêtement jusqu’ à refuser de signer leur œuvres. 8 

provisoires creusées dans le 1 sol du désert. Un « champ complexe et élargi » s’ouvre à partir des années 1960. La disparition des frontières entre les arts donne lieu à des formes artistiques nouvelles et originales : l’art conceptuel, l’Arte Povera, le Process Art, l’Anti-Form, le Land Art, l’art environnemental, le Body Art, la Performance dont les noms n’évoquent aucune catégorie artistique traditionnelle. L’emploi du terme « sculpture » pour désigner les œuvres de R. Smithson ou celles

lieu ailleurs : l’exposition When Attitudes Become Forms à la Kunsthalle de Bern en 1969 et la Documenta V de Kassel de 1972, toutes deux organisées par Harald Szeemann regroupent pour la première fois en Europe des artistes du Land Art, de l’Arte Povera ou encore de l’Art Conceptuel, mouvements fondés dans les années 1960 aux Etats-Unis, en Angleterre et en Italie. Ces expositions considérées aujourd’hui comme historiques auront sur Jean-Louis Froment un retentissement profond. Conscient de la richesse

Klein (1928-1962), Arman (1928-2005),César (1921- 1998) Minimalisme : François Morellet (1926), Frank Philip Stella (1936) Fluxus: Joseph Heinrich Beuys (1921-1986), Ben (1935) Figuration narrative : Jacques Monory (Né en 1924), Erró (1932) Arte Povera : Lucio Fontana (1899-1968), Giuseppe Penone (1947) Land Art : Robert Smithson (1938-1973), Richard Long (1945) Art Vidéo : Nam June Paik (1932-2006), Bruce Nauman (1941) Figuration libre : R. Combas (1957), F. Boisrond (1959), H. Di Rosa (1959)

Art de la rue qui stimula la création dans les quartiers de Mexico dans les années soixante par l'expression visuelle de leur malaise culturel, mis en évidence par la fin tragique du mouvement étudiant de 1968. On y pratique un art conceptuel, un arte povera, on dessine des graffiti, on s'adonne à la performance, à l'installation, à l'affiche, à l'assemblage, à une sorte de muralisme populaire (reflet du «chicano» américain). Une nouvelle graphie de communication populaire voit le jour, des éléments

l’activisme politique. La notion d’artiste conceptuel apparaît comme un faiseur d’idées plutôt que d’objets cela remet fondamentalement le statut de l’artiste dans le sens traditionnel du terme ainsi que celui de l’objet d’art. La tendance conceptuelle « Arte Povera », établie en Italie au cours des années 1970, a développé cette idée par l’emploi de matériaux banals et sans valeur. Kosuth, Beuys, Buren, Merz, Nauman, Viola NEO-EXPRESSIONISME Né en Europe et aux Etats-Unis au cours des années 1970, c’est une