Assonance

ni rejet, ni rime, ni rythme spécifique au vers . Dans les trois premières phrases et le deuxième paragraphe se trouvent une assonance en [e]. Dans la seconde phrase se trouve une allitération en [s]. Dans la sixième phrase se trouve une assonance en [u]. Dans le deuxième paragraphe se trouve une assonance en [ɛ]. Dans le troisième paragraphe se trouve une assonance en [i]. Horrible journée ! J’ai assisté, distant de quelques cent mètres, à l’exécution de B. Je n’avais qu’à presser la

double anaphore : - str 2 : « se » + infinitifs (d’abord en « re », puis en « er »), + assonances en « r » et allitérations en « ou », ce qui crée un rythme et des allitérations, donc un effet musical (allitération suggestive, qui suggère le glissement des pas), le rythme 3-3 régulier (sauf 2ème moitié v 5 et 1ère moitié v 8) : évoque le rythme du ballet ; impression de ballet sans fin, amplifiée par les assonances en liquides : « r » et « l », et dentales « t » et « d » : ballet terrestre et spectacle

poète aime la musique, comme en témoignent les nombreuses allitérations et assonances. Le vers huit est particulièrement significatif Les labiales du début et de la fin encadrent ce tableau où « vert » placé à l’hémistiche et « lumière » se répondent par assonance ouverte, où les liquides soulignent encore la qualité particulière de l’éclairage. « Les parfums ne font pas frissonner sa narine. » Les assonances en « ou » forment un hiatus encore plus brutal que dans « bouche ouverte »,

vers pairs/vers impairs ; e muet ; jeu des accents et des pauses (césures, enjambements) Sonorités : rimes (2 vers) et combinaisons : rimes masculines/féminines ; rimes croisées, suivies. Richesse des rimes : allitérations et assonances Mise en valeur des mots avec figures de style : accumulation, anaphores, oxymores, antonymes, antithèses, ellipses, comparaisons, métaphores. Succession d’adjectifs épithètes Dans le texte anglais : alternance de vers

narrateur ? le personnage agit-il ou subit-il? | - La ponctuation | ton du texte, rythme | - La présence éventuelle d'images et de figures de style | effet propre à chaque image, l'originalité du texte | - Les allitérations et assonances | mise en valeur de certains mots, musique du texte | - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures | toujours à commenter | La progression du texte : Les indices qui permettent de la repérer | Ce qu'ils peuvent indiquer

alexandrin et les poètes ont essayé de respecter l’hémistiche ce que Hugo a mieux réussi. ‘’Le dormeur du val’’ est écrit sous la forme d’un sonnet tandis que qu’ ‘’Après la bataille’ est composé de 5 quatrains. Le poème de Rimbaud est plus riche en assonance et en allitération que celui d’Hugo. ‘’Le dormeur du val’’ de Arthur Rimbaud est un poème symboliste : _ Il est caractérisé par l’utilisation de symboles : par exemple il dort pour ne pas dire qu’il est mort et au vers 8, dans son lit vert pour

inévitable. - Etouffement physique et moral avec: Climat pesant « le ciel bas et lourd pèse » + « pèse » = mètre impair (7ème) comparé à « un couvercle » = endroit fermé. Climat douloureux « l’esprit gémissant » appuyé par les assonances « i » se trouvant à la rime « en proie aux longs ennuis » + allitération en « s » « Et que l’horizon embrassant tout le cercle ». Climat sombre oxymore « jour noir » où le noir prend la place de l’Idéal, du soleil. Assombrissement de l'environnement

pas moins !). Le poète commence par une structure croisée où il joue sur les rimes et les assonances, puis une rime flottante : «pavage», qui sera repris plus loin par : «village», en assonance avec : «entrave» ; le reste correspond à la structure (classique malgré sa variation interne) initiale : embrassées, suivie de deux embrassées mêlées intimement aux deux premières (o, èt, èt, o, ans,ans,o), notre assonance, puis deux rimes plates, la dernière se fusionnant (sic !) avec deux embrassées ; la reprise

discordances jouent un rôle majeur, comme dans le rejet de « pleure » au vers 2 et 23. Les sonorités traduisent précisément la cacophonie ambiante. La musicalité est créée par : les assonances en « i » et allitérations en S dans la quatrième strophe : « sinistres », « qu’est-ce que c’est ? », « bruissait », « sistres » ; les assonances en « ou » et « o » dans la troisième strophe : « bouges », « rouges », « plutôt », « horizons », « forges » ; la paronomase dans la strophe 5 : « sistres » vers 20 et « sites

mots - le nom / le verbe / l'adjectif / sujet / complément... C. LES PROCEDES LEXICAUX : - Le sens des mots - abstrait-concret / positif-négatif / lexique de la sensation... D. LES MOYENS PHONETIQUES : - Les sons - allitération ( consonnes ) / assonance ( voyelles ) E. LES MOYENS ORTHOGRAPHIQUES :ir le regarde.DES IMAGES : - La comparaison - La terre est comme une orange. - La métaphore - La lumière de l'esprit. - La personnification - L'arbre pleure. - L'allégorie - L'espoir le regarde.