Bacchantes

mort3. Selon l'une d'entre elles, il aurait été foudroyé par Zeus pour le punir d'avoir révélé des mystères aux hommes qu'il initiait4. Pour Strabon, il aurait trouvé la mort dans un soulèvement populaire5. La version la plus courante est que les Bacchantes ou Ménades éprouvèrent un vif dépit de le voir rester fidèle à Eurydice et le déchiquetèrent. Sa tête, jetée dans le fleuve Hébros, vint se déposer sur les rivages de l'île de Lesbos, terre de la Poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent les membres

le monde des vivants. Mais au moment de sortir des Enfers, Orphée ne put s'empêcher de se retourner vers Eurydice et perdit définitivement sa bien-aimée. Le héros, inconsolable, fut finalement déchiqueté et jeté dans le fleuve Hébros par les Bacchantes (ce qui rappelle le destin d’Osiris une autre figure légendaire d’Egypte). 1/ Source : Orphée et Eurydice Description : Sur cette image Orphée est représenté empêchant Eurydice de partir. Calliope, la mère d'Orphée, est la Muse de l'éloquence

personnages[modifier] Labdacos Son père étant mort quand il avait seulement un an, son éducation fut assurée par son grand-père Nyctée, puis par le frère de celui-ci, Lycos. Il eut pour fils Laïos. Selon une tradition, Labdacos périt déchiré par les bacchantes pour avoir combattu le culte de Dionysos. Laïos Il fut Roi de Thèbes. Il épousera Jocaste avec laquelle ils auront pour fils Œdipe. Ce dernier le tuera au cours d'une altercation. Il ne put en effet échapper à l'oracle qui lui prédisait qu'il

condition de ni la regarder ni lui parler avant qu’ils ne soient sortis des Enfers. Celle-ci ne peut pas remonter car Orphée l’a regardée. Orphée est inconsolable. Il part dans les bois et jure de ne plus aimer aucune femme. Il rencontre les Bacchantes appelées aussi Thraces : elles tuent Orphée car il ne veut pas jouer de la musique pour elles, le découpent en morceaux et le jettent dans le fleuve Hébros. Sa tête dérive jusqu'à la ville de Lesbos. Après la mort d'Orphée, sa lyre devient la

données de grandes fêtes à date fixe. On comptait trois dionysies: * Les champêtre ou dionysies rurales de décembre à janvier. * Les Lénéennes, célébrées en janvier et février, instituée au VI ème siècle par Pisistrate. C’était la fête des Bacchantes (de «bacchus » autre nom de Dionysos). On y jouait essentiellement des comédies, or en janvier seul les Athéniens assistaient à ses représentations. * Les urbaines ou grandes dionysies qui se déroulaient de mars à avril. C’est à l’occasion

autres choses, par sa multitude de surnoms (Nysaios, Bromios, Dithurambos, Evios, Bakkhos, Zagreus, Sabadzios, Lyaios). On le représentait suivi d'un joyeux cortège où figuraient les satyres, les silènes, Pan, Priape, les ménades, les thyiades, les bacchantes. Les rites religieux dérivent primitivement de l'ivresse et de l'orgie, qui sont censées permettre au fidèle de s'intégrer à la divinité elle-même. Dans la légende, ils vont jusqu'à l'omophagie, qui consistait à dépecer et à dévorer des victimes

perdu son Eurydice, Orphée pleura sept jours entiers sur les bords de l’Achéron sans vouloir prendre aucune nourriture ; il se retira dans la Thrace, fuyant les hommes et vivant parmi les animaux, que ses chants plaintifs attiraient près de lui. Les Bacchantes en éprouvèrent un vif dépit et le déchiquetèrent. Sa tête, jetée dans le fleuve Hébros, vint se déposer sur les rivages de l’île de Lesbos, terre de la poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent ses membres pour les enterrer au pied du mont Olympe

pas. -Elle retourne aux enfers définitivement. -Nombreuses rumeur la mort d’Orphée. -Foudroyé par Zeus pour le punir d'avoir révélé des mystères divins aux hommes. -Pour Strabon, il aurait trouvé la mort dans un soulèvement populaire. -Les Bacchantes ou Ménades (accompagnatrices de Dyonisos) le déchiquetèrent. Sa tête, jetée dans le fleuve Euros, vint se déposer sur les rivages de l'île de Lesbos, terre de la Poésie. Les Muses recueillirent les membres pour les enterrer au pied du mont Olympe

le chant en honneur des boucs. Liturgique est un lieu au culte religieux, le théâtre à une origine liturgique liée à un sacrifice. La sacrification du bouc est suivit par le théâtre, c’est à ce moment là que le théâtre pouvait commencer. Les Bacchantes était autour du terme d’une longue persécution après avoir était chargé le miel et le lait pour accéder au sacrifice du bouc. Elle avait lieu dans des formes d’amphithéâtres à demi-cercle. Voici le plan du théâtre d’Epidaure, à forme d’amphithéâtre ;

continuer. C'est ainsi que dans Notre-Dame de Paris, le texte prend une tournure féerique très prononcée: « Si cette jeune fille était une être humain, ou une fée, ou un ange... » ; « c'est une salamandre, c'est une nymphe, c'est une déesse, c'est une bacchante du mont Ménaléen ! » jusqu'à cet arrêt brusque et inattendu: « Tout illusion avait perdu ». Dans Le Rêve, on peut voir que la malédiction provenant de la mère d'Hubert relève un peu du surnaturel: « Celle-ci la déshérita et la maudit, si bien que