Bacchantes

sentiment moralement discutable, peu avisé, d’une pulsions ou d’un désir inavouable et ce dernier à tendance à refoulé ce désir, au même titre que les civilisations ont tendance à repousser Dionysos. Euripide fera dire au dieu de la vigne dans les Bacchantes: « Vous autres mortels, gardez vous de ces deux excès : n’admettre que la raison, n’exclure que la raison. Fait bon accueil à la raison mais acceptez aussi la part d’imprévu et d’inattendu qui, de prime abord vous dérange. » Il y a là de la part

enfants. S’éclipsant doucement elle continue sa découverte de Paris jusqu’aux portes de la ville s’émerveillant des gratte-ciel et des somptueuses avenues. Elle s’approche du marché aux puces. Là elle se fait abordée par un type, affublé de grosses bacchantes (moustaches) noires, d’un melon (chapeau), d’un pébroque (parapluie) et de larges tatanes ( chaussures). Pour amadouer Zazie, il lui offre un cacocalo(coca-cola), et des bloudjinnzes. Zazie se méfie de ce type, c’est surement un sal type pas un

lendemain matin de son arrivée à Paris, Zazie se sauve de l’appartement de Gabriel et va se balader dans la ville. Lorsqu’elle pleure à cause de la grève du métro qui persiste toujours, ce personnage prend la forme d’un satyre, « affublé de grosses bacchantes noires, d’un melon, d’un pébroque et de larges tatanes » mais, devant Gabriel, il prétend être un pauvre marchand forain, qui, « sous le nom de Pédro-surplus », distribue « aux populations les menus objets que l’armée amerloquaine laissa traîner

avoir été témoins de ses nombreuses apparitions. Le plus célèbre d'entre eux reste le jeune duc d'York, le futur roi George V d'Angleterre. Un témoin prestigieux Le duc, alors âgé de seize ans, navigue comme enseigne de la Royal Navy à bord de la Bacchante, qui fait le tour du monde. Dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouve au large des côtes australiennes, une lueur brille brusquement dans l'obscurité et, à 200 mètres environ, surgit un brick entouré d'un sinistre halo rougeâtre

monde des vivants ». A la sortie, Orphée ne put s’empêcher de se retourner vers Eurydice car il avait des doutes sur sa présence. Par ce geste il perdit à jamais sa bien-aimée. Inconsolable, il fut déchiqueté et jeté dans le fleuve Hébros par les Bacchantes. Le mythe d’Orphée illustre donc le pouvoir ensorcelant du chant et de la poésie. Ce personnage poète musicien a d’ailleurs servi de référence aux poètes des temps modernes (Apollinaire lui a dédié un poème en 1908). La figure mythique

meurt en juillet 1893. Maurice et Eugénie de Guérin Maurice de Guérin et sa sœur Eugénie de Guérin vécurent ensemble à Andillac dans le Tarn, au château du Cayla. Maurice de Guérin est l'auteur « du Centaure », de « la Bacchante » et de nombreux poèmes qui se situent de l'histoire littéraire au début romantisme. À partir de 1834, Eugénie de Guérin rédiga un journal destiné à son frère. Elle l'achèvevaen 1841, notant ses impressions, ses lectures, la vie quotidienne d'une

Monsieur de Nemours dans ce moment ») que l’on retrouve chez Stendhal (« par excès de bonheur »). Dans le texte d’Hugo, la fascination de Gringoire s’exprime au discours direct (« c'est une salamandre, c'est une nymphe, c'est une déesse, c'est une bacchante du mont Ménaléen ! »). Le texte de Robbe-Grillet (texte D) est plus ambigu dans la mesure où le narrateur ne laisse percer aucun sentiment et semble rendre compte d’une vision objective ; c’est au lecteur d’interpréter la jalousie sous-jacente,

littérature antique où intervenaient les Bacchantes, ou bien des femmes rendues folles par l’intervention de Bacchus (Dionysos). C’est ainsi le cas de Penthée, roi de Thèbes, qui s’était opposé au culte orgiaque. Le dieu égara la raison de sa mère, Agavé, qui le mit en pièces (c’est le sujet des Bacchantes d’Euripide). Une scène d’une extraordinaire violence est aussi proposée par Ovide, dans les Métamorphoses livre XI, lorsqu’il raconte le meurtre d’Orphée par les bacchantes. Le déchaînement de violence des

sept cordes normalement, mais Orphée en ajoute deux. La partie la plus connue du mythe d’Orphée est sa descente aux Enfers. Il exerce son charme sur les créatures infernales pour obtenir qu’on lui rende Eurydice. Enfin Orphée est tué par les Bacchantes. Selon Ovide, elles sont irritées par son homosexualité. Pour Virgile, il a pris une partie des prérogatives de Dionysos. Elles déchirent son corps. On retrouve cet épisode dans le mythe de Dionysos. Cependant Apollonius de Rhodes n’évoque que

exemple de l’oracle, ici la Pythie racontée par Hérodote. * Un dieu comme Dionysos permet une liaison plus intime entre l’homme et le divin, notamment les Bacchantes, ces « femmes folles ». Fete, musique, danse, sont appréciés de ceux qui visent l’extase : sortie de soi-même pour atteindre l’enthousiasme. Voir Euripide, Les Bacchantes. * Vers des principes universels : une autre voie pour concilier les contraires, la pensée spéculative qui cherche des principes ordonnateurs du monde et de