Bagasse

rapidement sous la pression des facteurs démographiques et de l’urbanisation, ses gie, exploite le potentiel peu exploré des énergies renouvelables et réduise sa dépendance envers les carburants fossiles. Grâce à l’état d’avancement de la technologie, la bagasse de canne à sucre est considérée comme était vraisemblablement le produit le plus rapidement utilisable pour produire de l’éthanol africain. Voilà un panorama non exhaustif de ce qui est déjà réalisé ou en cours de réalisation en matière de production

risqueraient d'endommager les machines, puis vers un défibreur qui va broyer les cannes. L'extraction du jus de canne à sucre (vesou) se fait par broyage dans une série de moulins successifs. Un résidu fibreux est extrait en même temps que le jus : la bagasse. Tout au long de cette étape, un flux d'eau chaude est injecté afin de faciliter l'extraction du sucre de canne. 2) Les différentes formes de sucre Les principales formes de sucre normalisées au niveau mondial sont : • Sucre magenta : sucre dont

arôme. Elle produit annuellement 46 000 hlap (hectolitres d’alcool pur), pour les besoins du marché local et l’exportation vers l’Europe. Une centrale thermique mixte bagasse-charbon (CTBR): Développée par charbonnages de France, en partenariat avec Sucrerie de Bois-Rouge et E.D.F en 1992, la CTBR absorbe l’intégralité de la bagasse issue du traitement de la canne par la sucrerie ( environ 250 000 tonnes par campagne) et l’alimente en vapeur d’eau et électricité. Elle couvre 22 % des besoins en énergie

émissions de gaz polluants et surtout de CO² doivent être inférieures à 1% du volume des fumées. L'utilisation d’une tonne de bois permet d'éviter le dégagement dans l'atmosphère de 1 tonne de CO² d'origine fossile. Par exemple, une tonne de bagasse, a le même pouvoir calorifique que 250 kg de charbon ou 180 kg de fioul. La biomasse se caractérise généralement par une faible teneur en cendres et une quasi-absence de soufre. De plus le CO² rejeté par la combustion de la biomasse dans les centrales

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d’électricité à partir de la biomasse, ensuite l’Allemagne et le Brésil. On trouve trois principaux constituants de la biomasse: -La biomasse “lignocellulosique est consituée par du bois et les résidus verts, la paille, la bagasse de canne à sucre, le fourage. Elle se fait par des procédés par voie sèche, appelées thermochimiques. -La biomasse à “glucide”, qui est riche en substance glucidique qui est facilement hydrolysable. Elle est consitituée de céréales, de

que les deux premiers : la biomasse. Qu’est-ce que c’est ? La biomasse est une source d’énergie renouvelable dont les potentialités sont méconnues et encore peu exploitées à l’échelle de la Guadeloupe, en-outre de la valorisation énergétique de la bagasse de canne à sucre à la Centrale Thermique du Moule, elle est aussi utiliser chez Gardel. Le développement de la biomasse-énergie constitue un des axes prioritaires de la politique énergétique régionale affichée dans le PRERURE. Il existe deux types

électrique, de nouvelles techniques de production d’électricité ont été mises en place. Alors est apparue la première centrale thermique au fioul suivie des centrales à bagasse (résidu fibreux de l'industrie cannière). Cependant, la part de bagasse a diminué pour laisser de plus en plus de place au charbon. L'hydraulique et la bagasse n’assurent maintenant plus qu’un tiers des besoins en énergie de l'île. Site des éoliennes de Sainte Suzanne Aujourd’hui, la Réunion s’inscrit dans une logique d’indépendance

d'une présentation dans cette étude. En ce qui concerne les plantes sucrières, c'est la canne à sucre qui présente le meilleur potentiel alcooligène, sans oublier qu'elle génère, comme le sorgho sucrier, de la biomasse lignocellulosique, la bagasse qui peut être valorisée en tant que source d'énergie ou de production de gaz de synthèse par voie thermochimique. Le principal avantage des plantes sucrières, et non des moindres, est que les sucres obtenus par extraction (betterave) ou broyage

au moulin à cannes, avec un chef, qui était souvent un Blanc. Leur étaient confiés les travaux de la fabrication des sucres; les mouliniers qui assuraient la marche régulière du moulin, les chauffeurs des fourneaux, les porteurs de combustible (la bagasse ou paille des cannes passées au moulin et séchée), les sucriers proprement dits auxquels était confiée «la cuite» du jus des cannes. Ce groupe d'ouvriers qui se reconstituait à chaque saison de la coupe des cannes ou roulaison, était renforcé par