Bataille de Boyacá

En 1819, les quadrilles « La vencedora » (« Le vainqueur ») et « La libertadora » (« La libération ») furent interprétées pour célébrer le triomphe de l'armée patriotique lors de la bataille de Boyacá[1]. Après l'indépendance de la Colombie et la dissolution de la Grande Colombie, de nombreuses chansons furent écrites en l'honneur du libérateur Simón Bolívar. Le 20 juillet 1836, lorsque l'Espagnol Francisco Villalba arriva en Colombie avec une troupe de théâtre, il composa un chant patriotique

Francisco de Paula Santander, et triomphe en 1819. Le territoire qui est alors connu comme étant la vice-royauté de Nouvelle-Grenade, est converti, le 17 décembre 1819 au congrès d'Angostura, en République fédérale de Grande-Colombie, suite à la bataille de Boyacá (le 7 août 1819) et la proclamation, par Bolívar (le 10 août), de l'union du Venezuela et de la Nouvelle-Grenade[2]. Les divisions au sein du pouvoir interne conduisent en 1830 à la séparation des départements qui composent la Grande Colombie

Bonaparte comme roi d’Espagne, déclarent la sécession avec la métropole. D’abord menées par Narino et Camilo Torres, elles seront ensuite dirigées par Simon Bolivar et Francisco de Paula Santander. De1810 à 1819 eurent lieu de nombreuses batailles jusqu’à la victoire de Boyaca, le 7 août 1819, qui mit fin à la guerre.  Les territoires recouvrant  l’Equateur, le Venezuela et la Colombie devinrent alors une République Fédérale en prenant le nom de Grande Colombie. Son Premier Président fut Simon Bolivar.

Sud | |[pic] | |La bataille de Carabobo | |Informations générales

Girardot et Ricaurte se sacrifient héroïquement. Urdaneta, défend Valencia. Ribas triomphe à la Victoria. Mariño, qui avait libéré l'ouest du pays, arrive au secours de Bolivar et remporte la bataille de Bocachica. Bolivar se défend bec et ongles dans le camps retranché de San Mateo. Bataille après bataille, il sollicite l'appui des notables civiles pour restaurer les institutions, proclame des décrets, et rédige des articles pour la Gazette de Caracas. Malheureusement, les royalistes dirigés par

"Fédéralisme" \t "_self" fédérale de  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_Colombie" \o "Grande Colombie" \t "_self" Grande Colombie, à la suite de la  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Boyac%C3%A1" \o "Bataille de Boyacá" \t "_self" bataille de Boyacá (le  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/7_ao%C3%BBt" \o "7 août" \t "_self" 7 août 1819) et la proclamation, par Simon Bolívar (le  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/10_ao%C3%BBt" \o "10 août" \t "_self" 10 août), de

01 mai  - Fête du travail  13 mai  - Ascension  26 mai  - Elections présidentielles   03 juin - Corpus Christi   10 juin  - Sacré Cœur   01 juillet - St Pierre & St Paul  20 juillet  - Jour de l'indépendance  07 août  - Fête de la bataille de Boyacá  19 août  - Assomption  14 octobre - Jour de l'Hispanité  04 novembre - Toussaint  11 novembre - Indépendance de Carthagène  09 décembre - Immaculée Conception  25 décembre - Noel  * Langue(s) de travail : La langue des affaires

de l'identité des indgènes, pour protester contre les nouveaux impôts imposés par les Espagnols et réclamer une part de la richesse du pays. Le mouvement d’indépendance fut lancé en 1810 pour aboutir le 10 août 1819, après la victoire à la bataille de Boyacà. La République de la Grande Colombie (Venezuela, Équateur et Nouvelle Grenade) fut proclamée par Simon Bolivar, qui en devint le premier Président, et Francisco de Paula Santander, son vice-président. Premier siècle de la République Entre

en main leur avenir indépendamment de l'Espagne. Ce raisonnement confirme Bolívar dans sa conviction que l'indépendance est l'option la plus bénéfique pour les Amériques après la destruction de la flotte espagnole par les britanniques lors de la bataille de Trafalgar en 1805 et en considérant la position très délicate de la Couronne espagnole face à Napoléon. Ces éléments le conduisent à rejeter l'idée d'un possible leadership de Napoléon dans le monde, et à prêter devant son ami et précepteur Simón

La Colombie peut-elle combattre victorieusement les cartels des drogues ? . NATURE DU RAPPORT DROGUES-CONFLITS Les drogues peuvent soit stimuler l’ardeur du guerrier au combat ou le rendre inconscient du danger, soit effacer, après la bataille, les douleurs des blessures ou l’extrême tension engendrées par les affrontements, particulièrement lorsqu’ils prennent la forme du combat rapproché. Cet aspect du rapport drogue conflit reste présent aujourd’hui, en particulier en Afrique où, le