Béatitudes

immortel et bienheureux5, te conformant en cela à la notion commune qui en est tracée en nous. N'attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec l'immortalité ni en désaccord avec la béatitude ; mais regarde-le toujours comme possédant tout ce que tu trouveras capable d'assurer son immortalité et sa béatitude. Car les dieux existent, attendu que la connaissance qu'on en a est évidente.6 Mais, quant à leur nature, ils ne sont pas tels que la foule le croit. Et l'impie n'est pas celui qui rejette

affrontement qui dépasse le plan des personnages pour s’élargir à l’opposition entre le monde et le Ciel. Il y a une dimension religieuse sur le Pauvre. C’est le seul personnage à ne pas avoir de nom. Il représente les « Pauvres » évoqués dans les Béatitudes « bienheureux les pauvres de cœur, ils verront Dieu » Il ne faut donc pas comprendre « pauvre » au sens économique, mais au sens religieux, c’est à dire qui a fait vœu de pauvreté par amour de Dieu, un homme qui a un lien particulier avec Dieu

malheureux et plus malheureux que le moindre de ses sujets qui jout et qui se divertit. De la vient que le jeu, et la conversation des femmes, la guerre, les grands emploi. Ce n’est pas qu’il y ait en effet du bonheur, ni qu’on image que la vraie béatitude soit d’avoir l’argent qu’on peut gagner aux jeux ou dans le lièvre qu’on cours, on en voudrais pas s’il était offert. Ce pas cet usage mole (mou) et paisible, et qui nous laisse pensé a notre malheureuse condition qu’on recherche, ni les dangers

convaincre. -« Ou lui-même il s’est peint » Suite de l’argumentation de Tartuffe qui cherche a convaincre sur la base du raisonnement. -Vers 957 avec « Mon espoir, mon bien, ma quiétude » ACCUMULATION Vers 958 avec ANTHITESE entre peine et béatitude Vers 960 avec ANTHITESE entre heureux et malheureux Tartuffe cherche à impliquer Elmire qu’elle le veuille ou non. Il joue cette fois sur la persuasion. -Champ lexical de la divinité avec «  ange, plus qu’humaine, jeune prière, divin » On aboutit

l’horreur de la misère en contrastant la situation des enfants avec le confort de la classe moyenne ici incarnée par le boulanger : « Ils (les cinq petits) écoutent le bon pain cuire, / Le boulanger au gras sourire. » Les cinq petits admirent avec béatitude le travail du boulanger : « (les cinq petits) Ils voient le fort bras blanc qui tourne ». L’opposition entre le « fort bras blanc » et « les petits museaux roses » v.28 montre même la différence entre une même classe sociale. Plus flagrante encore

Représentation géométrique bi-dimensionnel du processus émotionnel (Osgood, 1966) Émotions Catégories Supra-ordonnées positives négatives amour Catégories basiques joie colère tristesse peur engouement déception béatitude tourment affection …. …. …. …. …. Catégories Subordonnées Représentation hiérarchique du processus émotionnel (Shaver et al., 1987) désarroi douleur horreur entrain rage 1er chapitre l’approche scientifique

d’influencer les plus grands empereurs de ce monde. Mais voyons maintenant comment vivre en chrétiens. II- Vivre en chrétien Selon la religion catholique, lorsque l’on meurt, on revit ( résurrection ) et Jésus nous juge pour : soit connaître la béatitude du paradise, soit l’horreur de l’enfer. Ce jugement est basé sur toutes les actions que nous avons faites durant notre vie. Le mur de la cathédrale de Concque illustre bien ce propos. C’est pour cela qu’il faut se repentir pour éviter les flammes

Des réminiscences mythologiques imprègnent le poème : références au vol d’Icare ou à l’ambroisie et au nectar, la « pure et divine liqueur » (vers 11) des dieux de l’Olympe ; tournures latines, comme « Heureux celui qui » (vers 15), rappellent les béatitudes du Christ dans le Nouveau Testament (« Heureux les pauvres… »). Les archaïsmes médiévaux (« pensers » pour « pensées », « liqueur » pour « liquide », « ennuis » pour « désespoir », « onde » pour « eau ») pourraient traduire l’intention du poète

en elle-même suffisamment explicite. On a souvent affirmé que le mot "Beat" signifiait déprimé ou dégoûté. Mais Jack Kerouac réfutait cette définition éronée et affirmait que "Beat" évoquait le rythme de jazz, et était une autre façon de dire "Béatitude". De plus Allen Ginsberg, dans une formule frappante a décrit les Beatmen comme étant des "hipsters à têtes d'anges". Le sens premier fait donc référence à une génération perdue fin du siècle même, beat signifiant pour : « être dans la rue, battu

m'intéressais à l'étude des sciences et de la philosophie, à la littérature , à l'astronomie, je me distrairai dorénavant avec joie grâce aux travaux domestiques et je l'attendrai respectueusement au retour de ses pérégrinations en me prosternant avec béatitude à ses pieds que je masserai avec douceur... TU CONTINUES EN REPRENANT LES IDEES DE ROUSSEAU/ Moi qui.... etc. etc. Je ferai ... Voici,Monsieur Rousseau, les sublimes résolutions que m'inspire votre écrit et que je suivrai dans la pleine conscience