Bilan De La Grève Dans Germinal

Jean : « Le roman », 1888 ; Littérature 2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal, « Une mine de charbon en 1885 : le Voreux », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons

personnelle. L'exposé n'a pas pour ambition de retracer l'histoire complète de la réception de l'oeuvre de Zola. Il en résume les données essentielles et insiste sur ses résultats, tels qu'ils peuvent être appréhendés aujourd'hui. Bref, il s'agit ici d'un bilan, que l'on devra considérer comme une introduction à des recherches plus approfondies. Le premier chapitre explore les principales problématiques développées par la critique contemporaine – qu'il s'agisse d'approches historiques, conçues d'un point

d’atelier ( il s'agit d'un reglement qu'on trouve afficher dans l'usine + en cas de mauvais comportement ( comme dispute ivresse etc..) on colle une retenus sur salaire a l'ouvrier ) * Bilan du régime individualiste du travail * = C'est un régime qui pésente 3 inconvéniant ( l'ouvrier seul face au patron car pas de greve ni syndicat + il vit dans un environnement bcp plus incertains car il peut etre licencier du jour au lendemin + il n'y a plus de solidarité car les patrons et les ouvriers ne se connaissent

extrait l’article : a priori, nous ne sommes pas en présence d’un texte à visée argumentative. Par définition, le dictionnaire a l’image d’un discours strictement descriptif, informatif ou explicatif : ici, il semble retracer l’historique objectif de la grève. Pourtant, on peut déceler plusieurs termes qui témoignent d’un jugement de l’émetteur sur le sujet (voir texte, termes soulignés). → dès lors que, dans un texte informatif, apparaît un jugement sur le thème développé, on glisse de l’information à

. -Interdiction des syndicats et de la grève. La loi LE CHAPELIER est abolie en 2 temps : En 1864 : La grève est autorisée et définitivement

Utilisation d'outils d'educ pop dans la prépadu sejour / Planning / Règles et cadre / négociable et non négociable / Autonomie de déplacement dans le camping et alentours / Règle non négociable de respect envers les autres / Temps de conseil & bilan prevu par le groupe / Jeunes se sont saisi des outils pour faire remonter des problématiques lié à la pose et au respect du cadre / Possibilité de choix complet pour les acteurs du séjours ( budget , planning , repas , sorties , etc )· : outils possédés

disparaissent progressivement et les usines et les grands patrons apparaissent. Les premières lois qui réglementent la conditions ouvrière sont votées. En 1900 la cinquième Exposition Universelle internationale est organisée à Paris pour présenter « le bilan d'un siècle [1]». C'est la plus importante exposition universelle organisée par la France, elle est inaugurée le 14 avril par le président Émile Loubet et elle se termine le 12 novembre et elle accueillit environ 50 millions de visiteurs. Cette exposition

peuple de Paris. - Phénomène de la « grande peur », 4 aout 1789 c’est l’abolition des privilèges ; - 26 aout 1789, DDHC, faisant de la liberté et de l’égalité le fondement de la nation. Texte imparfait, inégalité H/F, pas de droit de travail ni de grève. - 14-17juin 1791, loi Chapelier qui met fin aux corporations. Naissance de la vie politique : - toutes les classes s’expriment grâce à la liberté d’expression. Hiatus Paris/Province ; Perte de pouvoir de l’Eglise : 2 novembre 1789, nationalisation

une condition de  la  liberté de  chacun  en société.  Elle  constitue  en  effet  un  garde  fou  contre  les  abus.  L’obéissance   doit  donc  être  conçue  comme   une  garantie  contre  les  entraves apportées à la liberté de tous ou de quelques uns.     Bilan   La désobéissance ne saurait être hissée comme principe sans contradiction.  La désobéissance n’est pas fondée pour elle­même, pas plus, d’ailleurs, que l’obéissance.  L’obéissance exigée en société l’est en vertu de la nature ambivalente de l’homme envers ses semblables

l’obéissance est plutôt une condition de la liberté de chacun en société. Elle constitue en effet un garde fou contre les abus. L’obéissance doit donc être conçue comme une garantie contre les entraves apportées à la liberté de tous ou de quelques uns. Bilan La désobéissance ne saurait être hissée comme principe sans contradiction. La désobéissance n’est pas fondée pour elle-même, pas plus, d’ailleurs, que l’obéissance. L’obéissance exigée en société l’est en vertu de la nature ambivalente de