Bilirubine

gastriques. * Ictère : L’ictère est dû à une augmentation du taux de bilirubine dans le sang. Il peut être lié à un processus obstructif au niveau des vois biliaires : un obstacle à l’écoulement de la bile au niveau de la voie biliaire va empêcher la bile de s’écouler et provoquer un ictère. On distingue : * Les ictères à bilirubine conjuguée qui sont liés à des processus obstructifs ; urines foncées. * Les ictères à bilirubine libre qui sont liés à des processus dégénératifs (insuffisance hépatique

biliaire diverse son contenue grâce à des contraction rythmique de sa paroi en rependant d’une stimulation hormonale (cholécystokinine) La bile joue un rôle très important dans la digestion par l’absorption des graisses et l’excrétion des déchets (bilirubine, excès de cholestérol) On peut cheminer le passage de labile par deux étapes : 1- Sécrétion par les hépatocytes avec passage dans les canalicules 2- Ecoulement vers les canaux hépatiques terminaux (droit et gauche) aboutissant dans le canal

Remercîments : Je tiens tout d'abord à remercier Monsieur  pour m’avoir permis d’effectuer mon stage au côté de son équipe.Je remercie Mademoiselle, tuteur de stage, de m’avoir accueilli et encadré et d’avoir consacré une partie de son temps à me guider et à m'instruire dans les missions qui m’ont été confiées lors de ce stage.Et l’ensemble des biologistes et techniciens de laboratoires qui m'ont permis d’effectuer mes premiers pas dans le domaine d’analyse médicale.Je tiens à remercier M, qui nous

enfants sont donc anémiques en permanence, mais s’adaptent généralement très correctement. Les seuls signes visibles peuvent être la fatigabilité et une couleur jaune des yeux (car en se cassant les globules rouges libèrent un pigment jaune, la bilirubine). • Les globules rouges sont rigides : ils vont former des bouchons et obstruer les vaisseaux sanguins. Ces accidents sont appelés « crises vaso-occlusives ». Certains facteurs déclenchants sont parfois identifiés mais pas toujours : le froid,

ALAT-SGOT | <40 UI/L | ASAT-SGPT | <40 UI/L | LDH | < 195 U/L | CPK | <60 U/L | CPK MB | 1-10 U/L ou <10% du résultat | Gamma GT | 21-58 U/L | Phosphatase alcaline | 1-34 U/ 100 mL | Amylase | 60-100 UI/L | Bilirubine * Totale * Libre * conjuguée | * <10 mg/L <17mmol/L * <7 mg/L <2µmol/L * <3mg/L <5µmol/L | Cholestérol | 1.5-2.5 g/L 4.5-6.6 mmol/L | HDL | 0.6 g/L 1.6 mmol/L | LDL | 1.60 g/L 4.1 mmol/L | Triglycéride | 0

biliaires sont recyclés au travers du cycle entéro-hépatique. Bile : 90 à 95% d’eau, pouvoir détergents des acides biliaires. Elle est stockée dans la vésicule biliaire entre les repas puis sécrétée lors de la digestion. · Métabolisme de la bilirubine · Métabolisme des xénobiotiques : doivent être rendus hydrosolubles pour pouvoir être éliminés par le rein ou la bile. · Catabolisme protéique : production de NH4+ toxique, transformée en urée et éliminée par le rein. · Biotransformation hépatique

pédiatrie Description de la situation : Dans mes premiers jours de stage, une puéricultrice doit faire une prise de sang chez un nouveau-né prématuré de 2 jours né à 34 semaines d’aménorrhées. Ce bilan sanguin était prévu pour évaluer son taux de bilirubine dans le sang car le nouveau-né présentait des signes d’ictère (coloration jaune des muqueuses, de la peau et de la conjonctive). En préparant le plateau avec la puéricultrice pour réaliser la prise de sang, je me demande comment elles font pour

dyschromies mixtes : ce sont les leuco-mélanodermies où les taches hyperpigmentées voisinent avec des taches dépigmentées ; cette anomalie est réalisée au cours du vitiligo. 1.6. Des colorations anormales peuvent être dues : 1.6.1. A l’accumulation de bilirubine au niveau de la peau : coloration jaune au cours de l’ictère. 1.6.2. Au dépôt anormal de certains sels de métaux : coloration grisâtre après ingestion prolongée de médicaments à base d’argent, d’or ou de bismuth. 2. Les lésions cutanées Sont

Idiopathiques ou associées à une hémopathie lymphoïde chronique (lymphome lymphoplasmocytaire). III) Diagnostic biologique A) Marqueurs d'anémie hémolytique Anémie normochrome normocytaire régénérative Diminution de l'haptoglobine Augmentation de la bilirubine non conjuguée Augmentation des LDH B) Diagnostic spécifique Test de coombs      - Test de coombs direct (peut être réalisé à 37°C et à 4°C) : on recherche la présence d’immunoglobulines fixées à la surface du GR. On les met en évidence par agglutination

permettront de vérifier qu’il s’agit bien d’une hépatite A. [?] Examens et analyses complémentaires Les premiers examens demandés par le médecin seront une étude des marqueurs qui signent l’existence d’une atteinte du foie : transaminases et bilirubine. Aussi, il prescrira une sérologie c’est-à-dire une recherche dans le sang de la présence d’anticorps spécifiques des principales hépatites. Ces anticorps sont un des moyens de défense de l’organisme contre le virus, ils ne sont présents qu’en cas