Bit

electronics engineers). 2 Fonctionnement du micro-ordinateur 1 2.1 Le langage binaire Le langage binaire, également appelé système de numération en base 2, est celui utilisé par les ordinateurs. 1 2.1.1 Le bit Dans un ordinateur, chaque chiffre en binaire s’appelle un bit (contraction de binary digit) et peut prendre deux états (0 ou 1). C’est la plus petite unité d’information utilisable par l’ordinateur pour coder l’information. 2 2.1.2 L’octet. L’octet (Byte en anglais) est

se fait de X1 à X8 pour le premier module d'entrée puis X9 à X16 pour le second, etc. Pour les sorties, leur définition se fait de Y1 à Y8 pour le premier module de sortie puis de Y9 à Y16 pour le second, etc. Le SESTEP peut mémoriser l'état d'un bit dans un marqueur défini par la lettre "Cnnn" ( nnn représente le numéro du marqueur par exemple C21). Les mots - valeur d'une temporisation, d'un compteur, etc. - sont contenus dans des registres nommés "Vnnn" . ADRESSE D'OPERANDES: |Opérande

l’écrirons N= (745)10. L’indice ' indique la base dans laquelle le nombre 10' est écrit. Nous verrons plus tard que cela a son importance. 1.3 Système binaire Ce système dit de base 2 comprend deux symboles différents : 0 et 1. Chacun d’eux est aussi appelé bit qui est la contraction de l’anglais binary digit (élément binaire). Exemple : (1001 1011)2 est un nombre binaire de 8 bits. Pour écrire un chiffre on ne peut utiliser que ces deux symboles. Ainsi l' écriture suivante est correcte : N = (11001)2. Par

représentés en notation signe-valeur absolue :  Travaillez sur 8bits sinon sur 16bits :  Notez s'il y à un bit de carry ou d'overflow ? a) P2=N3 * N4  Exercice No :4 (4 Points) Effectuez les opérations suivantes en considérant les valeurs qui suivent ? N5=(-15) ; N6=(-25) NB2 :  Les nombres sont représentés en notation Complément à deux :  Travaillez sur 8bits sinon sur 16bits :  Notez s'il y à un bit de carry ou d'overflow ? a) S2=N5 + N6  Exercice facultatif : Quels sont les entiers les plus petits

elles sont souvent réalisées à l’aide des réseaux logiques programmables (PLA) ; – avec l’arrivée des circuits LSI et VLSI, des réalisations très structurées ont été possibles à l’aide de MUX (sélecteurs de données). Exemple : additionneur complet de 1 bit à l’aide de 2 MUX à 3 entrées de sélection (cf figure I.4). Remarques : 1. pour réaliser une UAL traitant des mots de n bits, il suffit de brancher en cascade n paires de sélecteurs de données (exemple additionneur à 4 bits) ; 2. pour réaliser une autre

de 16 bits. C’est le rôle du registre à décalage. Le problème qui se pose à cette étape est de garder les bits les plus significatifs pour un maximum de performance. La représentation utilisée pour les nombres est celle du complément à deux. Le bit de poids fort est octroyé pour le signe, 0 si le nombre est positif et 1 s’il est négatif.Cette représentation a l’immense intérêt de permette à la machine de considérer la soustraction de deux nombres comme la somme du premier et de l’opposé du second

…………………………………………………………………………………………..……………………… 1.5 3°) Effectuer l’opération ( A + B’) , contrôler le résultat en convertissant la réponse binaire en décimal. NB : Le résultat de cette opération sera donné sur un format de quatre bits, à cette effet on élimine le bit le plus significatif (1er à gauche). …………………………………………………………………………………………………………..……… …………………………………………………………………………………………………..……………… …………………………………………………………………………………………………………………. 1.5 4°) Que peut on conclure ? ………………………………………………………………………………………………………….

qui est porteuse d’information élémentaire, le 0 est appelé le « bit ». Mais on ne peut pas beaucoup stocker et donc on a retenu pour des raisons assez commodes comme unité classique de classification de la mémoire une succession de 8 cases (ex : 1, 0, 1, 1, 0, 0, 0, 0) ce qui fait sur une base 2, 256 possibilités de remplir ces cases. Sur 256 on va pouvoir coder tous les caractères alpha numérique : l’ASCII étendue. Le codage sur 1 bit sert véritablement de base. Cette succession de 8 cases est appelée

est déjà prédéfini. Il comporte : - un fichier Project.prm, - un fichier ‘MC9S08LL16.h’, dans lequel chacun des registres internes de configuration du µC sont redéfinis (par une union de structures et des bits fields) afin de pouvoir les contrôler bit à bit, - un fichier ‘main.c’ contenant la fonction main et éventuellement d’autres fonctions, - un fichier ‘Start08.c’ qui permet de configurer le µC au démarrage. Vous pouvez bien entendu ajouter vos propres fichiers ‘.c’, ‘.h’, voir ‘.lib’. 2.2.1 Dans

diffusion en remplaçant tous les bits à partir du CIDR à 1. Cette étape calcul et affiche le 1er adresse et le dernier adresse distribuable : Pour la 1ère adresse, il suffira de remplacer le dernier bit de l’adresse réseau à 1. Pour la dernière adresse, il suffira de remplacer le dernier bit de l’adresse de diffusion à 0.