Blancs et noirs

Croix du Sud » de Joseph Ngoué est, on le sait, un donner à voir et à penser sur le racisme dans une énigmatique ville du Sud. La tragédie orchestrée par la communauté Blanche contre les Noirs y est cependant intensément vécue par Wilfried Hotterman, un métis de la deuxième génération qui s'est confondu aux Blancs pendant près de quarante-six ans. Trahi par le fils d'un notaire qui détient des documents sur ses origines nègres, Wilfried est mis au ban de la société blanche, poursuivi puis froidement

seconde partie, l'auteur relate et critique la perception des noirs face à cette traite, l'antiphrase insiste sur le fait que les mères des esclaves pensent que c'est un avenir rempli de bonheur pour eux (ligne 13-14) "mon cher, béni nos fétiches, adore les toujours, ils te feront vivrent heureux; tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère". Tandis que la vision du noirs, elle, est trés réaliste quant à sa précarité et son malheur

négritude est un terme désignant le mouvement littéraire et politique animé par des écrivains francophones d'origine antillaise et africaine. Ils soutiennent l'idée de la liberté et de la libération de l'Afrique et/ou de l'égalité des blancs et des noirs. Les poèmes ont été écrits avec beaucoup de liberté. Leurs formes peuvent être proches d'un chant; comme dans « Afrique » les vers 8 à 11 rapprochent le poème d'une comptine ou encore l'anaphore "Afrique'' joue le rôle du refrain

regarder manger les Blancs, mon estomac vide se contractait et une colère sourde montait en moi ». Car le corps, c’est surtout la peau. Chaque personnage ne peut être désigné que par sa couleur – quand bien même l’exercice est difficile et à la limite de l’absurde : « Ma grand-mère était aussi blanche qu’une Négresse pouvait l’être sans être blanche, ce qui veut dire qu’elle était blanche »… C’est progressivement que l’enfant découvre les rapports entre Noirs et Blancs, au détour d’un « premier

Dm de français Introduction : Quatre strophes composent cette chanson. La première parlant, de la musique que les esclaves noirs américains, que ceux-ci chantaient pour garder espoir par rapport à leur conditions de vie et grâce à leur foi en Dieu, pourrait s’intituler Origines du jazz. Le second, parle lui de la joie et la bonne humeur des chants d’Armstrong, de la chaleur de ses chants, parlant toujours de l’espoir amené par le jazz et pourrait donc s’intituler Espoir du jazz amené par

de Lincoln, les Noirs commencent la guerre civile, en changeant d’avis. Maintenant, nous allons parler de ce qu’il s’est passé durant cette guerre. Les Suds arrivent à gagner quelques batailles, et à gagner des territoires mais la guerre progresse, deux ans plus tard, le Nord arrive à envahir le Sud. La guerre fut long par ce conflit, elle se finit en 1865, avec environ 618000 militaires morts. Et pour au final ne pas gagner grands choses, car le conflits entre Blancs et Noirs est toujours présent

dans le complexe du Noir, force ontologiquement dominée face à un Blanc éternellement, Être puissant et dominateur. Ainsi, cette pièce de théâtre de Joseph Ngoué se réduit à un croisement de regards de personnages blancs et noirs, et à l’expression du spectacle observé. On est frappé par la pertinence de l’emploi de la notion de regard, notion sur laquelle joue probablement le théâtre de Ngoué pour montrer qu’en même temps que le Blanc regarde, il n’échappe pas au regard de l’Autre, du Noir. On peut

Lecture analytique 3 fin chap. 11 «  C'était la première fois qu'ils venaient » -opposition : autorité des blancs / soumission passive des noirs -insultes racistes : les noirs sont tournés en dérision, dénigrés, imitation moqueuse de leur façon de parler ( déshumaniser ), injures « charogne », « boudin » -violence morale => humiliation du père de famille violence physique des blancs => « coup de pied », « grand coup de botte en plein dans les fesses » les termes : grand et plein insistent sur

racisme se concentre sur la distinction des blancs et des noirs. Certains s'opposent à ce racisme, comme Martin Luther King, un pasteur Afro-Américain. Très vite il va devenir le symbole de l'égalité des hommes et de la contestation du racisme. Cet homme, le 28 août 1963, prononce son discours « I have a dream » au Lincoln Mémorial à Washington. Son discours parle des droits civiques entre les hommes blancs et noirs, King voulait que les blancs et les noirs soient égaux. Il est soutenu par John Kennedy

un jeune noir instruit par un prêtre Blanc (qui se nomme Père Gilbert), vit au Cameroun sous le régime colonial. Toundi prendra l’habitude de tenir un journal pour enregistrer tout ce qui se passe dans le milieu des colons. Enfant victime de la cruauté de son père, il s’enfuit de son village et se réfugie chez les missionnaires. Il grandira chez eux, jusqu’à la mort du père Gilbert son protecteur. Il va trouver un travail chez un colonel qui est « chef des blancs ». Mais Toundi va être victime de l’injustice