Bouillante

une feuille de Pélargonium. On place un cache noir sur une feuille de pélargonium panaché. (photo a) Celle-ci est ensuite éclairée fortement pendant 72h. On prélève cette feuille et on la plonge dans l'eau bouillante pour stopper toute réaction biochimique puis dans l'alcool bouillant pour la décolorer. On la recouvre ensuite d'eau iodée. L'aspect de la feuille est représenté sur la photo b. photo a[pic] [pic]photo b Document 3 : La carboxylase. La carboxylase est une enzyme qui assure

prise de courant. Si le bouton est rouge, appeler les pompiers… Il s’agissait d’une blague… Prenez le panier fermement. Sans jouer avec celui-ci. Plongez le dans l’huile bouillante…. Ensuite, toute dernière opération, plonger les frites dans l’huile bouillante…. FIN Déposé à la SABAM-SACEM en 1997  Auteurs Vincent et Bruno Counard Interprètes : les Frères Taloche

rythme ternaire de la phrase ajoute une profondeur dramatique à la scène. -Le temps semble de toute façon s'être même immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». La métaphore du navire qui jette l’ancre et qui stoppe ainsi sa progression est explicite. - Meursault enfin lui-même rapproche cette scène d'une autre journée qui a eu lieu au début du roman : « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré

ricotta 13. 4 oeufs 14. 1 boite de 410 gr. de lait concentré non sucré 15. 10 gr. de beurre 16. muscade 17. sel, poivre La recette Epluchez les épinards, faites-les cuire dans de l'eau bouillante salée. Egouttez-les et hachez-les. Pour les épinards surgelés, faites-les dégeler rapidement dans de l'eau bouillante et égouttez-les. Préchauffez le four à 180°C.(th.6)./ Battez les oeufs en omelette, ajoutez le lait en boite, les 3/4 de la ricotta et les épinards bien égouttés. Ajoutez sel, poivre

sentais son grand souffle chaud sur mon visage » (l.4) « son bleu de chauffe fumait dans la chaleur » (l.14) ; l’air est « enflammé » (l.20) et une métaphore compare, de façon hyperbolique, l’atmosphère surchauffée du lieu à un « océan de métal bouillant » (l. 23). Le second champ lexical est celui de la lumière : on peut ainsi relever, par exemple, l’évocation du « halo aveuglant de lumière » (l.8) qui dissout les formes et réduit le rocher à une « masse sombre», ou le petit vapeur à « une tache

200° pour bien imperméabiliser le fond. Préparation de la garniture : Débiter votre poitrine de porc en lardons en prenant soin de retirer la couenne et les cartilages. Faire blanchir les lardons en les plongeant 3 minutes dans de l’eau bouillante Egoutter les lardons Placer la couenne du lard dans une poêle à feu très vif Laisser fondre la graisse de la couenne Ajouter les lardons dans la poêle et les laisser revenir 2/3 minutes en prenant soin de ne pas les laisser blondir

physique « sa belle mine » et « sa tournure galante » et d’autre part celui moral. Georges Duroy abuse de son charme souligné par l’adverbe «grâce » pour obtenir ce qu’il désire. Le lexique du feu « brûle », « s’allumait » et l’expression « le sang bouillant » traduisent non seulement son désir amoureux mais aussi son tempérament ambitieux. C’est pourquoi « il espérait toujours plus et mieux » met l’accent sur sa détermination de s’élever socialement « espérait », et son insatisfaction permanente « toujours

émotions. Un temps arrêté: «Il y avais déjà deux heures que la journée n'avançait plus......un océan de métal bouillant» Différents procèdes permettent au narrateur d'allonger l'instant , créer un effet d'attente propice à la montée de la tension dramatique tout en restituant le sentiment de malaise du personnage. Métaphore de l'ancre jetée, métaphore de l'océan de métal bouillant différent de l'eau fraiche synonyme de plaisir et de mvt celui de la baignade celui ci rendu agressif par la chaleur

| |1 gousses d'ail | |compact. De plus, celui-ci ne requiert que| |1 oignons coupés | |de l’eau bouillante. | |2 piments coupés | | | |6 Saucisses bouillies |

ternaire de la phrase ajoute une profondeur dramatique à la scène. -Le temps semble de toutes façons s'être même immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». - M. enfin lui-même rapproche cette scène d'une autre journée qui a eu lieu au début du roman : « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman », comme si le temps n'avait pas avancé. Le hasard, l'immobilité du temps renforcent