Bruce Nauman

4.2. Art Conceptuel 4.3. Influences diverses 4. Œuvre principale 5.4. Nauman et la typographie 5.5. Window or Wall Sign 5. Les autres travaux 6.6. Revolving upside down 6.7. Untitled (Hand Circle) 6.8. Going around the Corner Piece 6.9. Art Make-up 6.10. Good Boy, bad Boy 6. Conclusion 1. Biographie de l’artiste Bruce Nauman est né à Fort Wayne, dans l’Indiana, en 1941. Il débute ses études à l’université de Wisconsin

Le corps est mis en tension, entre joies de la suspension et apesanteur.   2   Bruce Nauman Good boy, Bad Boy, 1985   3   Dans ces vidéos, deux acteurs sont mis en scène par l’artiste, présentés côte à côte chacun sur un moniteur. L’homme noir est vêtu d’une chemise blanche et la femme blanche vêtue d’un haut vert foncé. L’homme répète 100 phrases composées par Nauman, comme la femme. Cependant, celle-ci met plus de temps, de sorte que l’écran où l’acteur apparaît

mêlant le cinéma, la vidéo, la performance, l’architecture, le verre, les miroirs. il s’est également attaché à créer des installations ou "dispositifs" critiquant les catégories traditionnelles de l’art, tout en cherchant, sous l’influence de Bruce nauman, à jouer sur l’expérience du corps vis-à-vis de l’espace, sur le rapport observateur - observé. il en est ainsi de public space/two audiences (1976), espace dans lequel le spectateur doit entrer : d’un côté, il voit l’image des spectateurs de l’autre

Futurisme-Constructivisme-Dadaïsme (Boccioni, Russolo – Moholy-Nagy, Tatline – Duchamp). o Les classiques : Calder, Tinguely, Soto, Bury, Takis, Jonathan Borofsky, Rebecca Horn. o Environnement : Rauschenberg, Edward Kienholz. o Installation : Vito Acconci, Bruce Nauman, Menashe Kadishman Claude Lévêque, Eliafur Eliasson. o Installation vidéo : Nam June Paik, Tony Oursler, Gary Hill, Antoni Muntadas, Pierrick Sorin. o Nature : Bernard Leitner, Erik Samakh, Walter de Maria, Goldworthy, Udo, Nash, Penone. o Art

Serrota, suivis de près par le galeriste Larry Gagosian et les collectionneurs François Pinault et Eli Broad. Les premiers artistes, le trio Anton Vidokle, Julieta Aranda et Brian Kuan Wood, animateurs du réseau e-flux, sont à la 8e place, devant Bruce Nauman, 10e, et Jeff Koons, 14e. Si l'on excepte Louise Bourgeois, née française mais naturalisée américaine depuis près de 60 ans, point d'artiste français dans la liste. Les cinq autres personnalités françaises sont un directeur de musée (Alfred Pacquement

du silence « plight » 1985 environnement silencieux qui coupe la salle du reste du musée, artiste allemand très singulier utilise beaucoup le feutre, objet bruyant qu’on réduit au silence 1. Expérimentation physique et corps de l’artiste Bruce Nauman, il vient de la performance des années 1960, il se met donc lui-même en scène dans des gestes répétitif « going around the corner » 1970 est une invitation au spectateur à faire une expérience déstabilisante « Passages de rêve avec corridor

 Bruce Nauman réalise de 1969 à 1970 une installation vidéo, où le spectateur enregistré, fait partie de la vidéo. Dans le couloir de Live-taped Video Corridor, le visiteur fait l'expérience perceptive d'une disharmonie entre sa progression et l'image contradictoire que lui en donne en temps réel un moniteur relié à une caméra de surveillance placée en hauteur à l'entrée du corridor. The Legible City est une œuvre de l'artiste australien Jeffrey Shaw réalisée en 1990, en collaboration avec

tenaient pas compte alors de la présence du public, pour la bonne raison qu'il n'y en avait pas. Gina Pane a réalisé des peintures géométriques avant de commencer à s’investir dans les sculptures et les installations. Proches des explorations de Bruce Nauman et Robert Morris, ses premières peintures, hors d’une recherche formelle, engagent déjà ses thèmes de travail futurs, où la relation du corps à la nature détermine ses sculptures, "pénétrables", et surtout, ses performances. Figure majeure de l’art

Intégration de la vidéo dans l’art contemporain. Il veut démontrer que la télévision n’est qu’une batterie de signaux : réduction de l’image de la TV. Mais l’art vidéo n’est pas un art narratif, il nous interroge en tant que spectateur. • Bruce NAUMAN : Around the corner 1970 Moniteur au sol. Renvoie l’image du spectateur. Le spectateur est toujours écarté de lui-même, il est en décalage avec son image. La tendance est à la transparence.

Fischli & David Weiss, Le Cours des choses, 1986-87 – Erik Samakh, Entre chien et loup, 1995 – Claude Levêque, Valstar Barbie, 2003 Le corps et la perception, la participation du spectateur : – Ed Kienholz, Roxy's, 1960-61 – Bruce Nauman, Corridor, 1968-70 – Jesus-Rafael Soto, Pénétrable, 1973 – Erik Samakh, Pierre sonore, 1993 – Tony Oursler, We Have No Free Will, 1995 – Krzysztof Wodickzko, Le porte-parole, 1996-97 – Claude Lévêque, J'ai rêvé d'un autre