Cambuse

par le conteur pour présenter l'histoire. En effet, le conteur fait l’introduction de son récit comme suit: «C’était un soir comme celui-ci, la veille du jour de l’an, il y a de cela 34 ou 35 ans. Réunis avec tous mes camarades autour de la cambuse » 4 . On peut donc voir que le conteur présente l'histoire comme un souvenir. L’histoire est donc perçue par l’audience comme réelle et authentique. Pour ajouter au réalisme de l’histoire, le conteur la situe dans un passé lointain mais précis

crescendo : Au début, torture de la faim : " les fringales arrivaient ", " les danses devant le buffet ", " les dîners par coeur " : fait écho à la scène de l'oie rôtie (contrepoint tragique) Puis évocation du froid : " la petite Sibérie de leur cambuse ", " ce gredin de décembre ", " il glaçait la pièce " Enfin, menace de l'expulsion : les Coupeau vivent finalement avec la menace d'être expulsés : " ce qui les exterminait, c'était par-dessus tout de payer leur terme ", " le père Boche présentait

je vais commencer mon histoire en faisant un grand signe de croix pour chasser le diable et ses diablotins. J’en ai eu assez de ces maudits-là, dans mon jeune temps. Pas un homme ne fit mine de sortir : au contraire, tous se rapprochèrent de la cambuse où le cook achevait son préambule et se préparait à raconter une histoire de circonstance. On était à la veille du jour de l’an 1858, en pleine forêt vierge, dans les chantiers des Ross, en haut de la Gatineau. La saison avait été dure et la neige

de l’équipage : -2 cabines de 4 -9 cabines de 2 -4 douches (1 douche tous les 3 jours) -4 toilettes -1 pharmacie (possibilité de faire de petites opérations à bord) -1 bureau (connexion satellite) -1 bibliothèque (plus de 2500 livres) -1 cambuse (réfrigérateurs) -1 sauna (bateau Hollandais, utilisé pour sécher le linge) -1 bar (alcool seulement pour les grandes occasions comme le passage de l’équateur pour les anniversaires, sinon pas d’alcool à bord) -Rangements, matériel d’expédition

gruyère de retz, un des florentins qui conduire catherine de médicis en france, devient pour 35 000 livres propriétaire de la seigneurie de versailles et de son château, consistant alors en une demeure seigneuriale ficher à l’emplacement de l’actuel Cambuse des Ennui imperméable et de la marine5. en 1589, un mois avant qu’il ne advenir roi de france, le roi de navarre séjourne à versailles6. Revenant de blois, il s’y louer du 7 au 9 juillet et est reçu par albert de gondi ; il y tourne en 1604 et

désignant des êtres inanimés sont sujets d’un verbe actif : « les hivers les nettoyaient »3, le terme…vidait le buffet et le poêle »24. Certaines expressions relèvent de la métaphore : « les fringales arrivaient »4-5, « la petite Sibérie de leur cambuse », « ce gredin de décembre entrait chez eux ». Il y a aussi une comparaison : « la neige tombait dehors comme si elle leur préparait un lit sur le trottoir avec des draps blancs »23-25.Mais on rencontre aussi une personnification plus nette, presque

engourdies des gelées, la misère noire des temps humides ». Zola utilise aussi le champ lexical du froid : « décembre » (l.4), « gelées » (l.5), « hiver » (l.6 et 7). Il utilise enfin une périphrase du lieu enneigé : « dans la petite Sibérie de leur cambuse » (l.3). Zola décrit un cycle infernal qui enfonce petit à petit, tous les ans, la famille dans une misère implacable et fatale. Le choix du point de vue rend le récit plus réel : tout est décrit à travers le regard des personnages. On remarque

souvenir de quatre ou cinq voyages que je fis à Garabit, avec mes parents ou autres personnes de chez nous, car on allait nombreux de Saint-Flour à Garabit. Tout pour moi était sujet d’étonnement, à commencer par ces innombrables maisons en bois – les cambuses – échelonnées le long de la route, dans lesquelles logeaient les 2 ou 300 hommes de l’entreprise. Avec quelle curiosité mes yeux perçants d’enfant suivaient ces hommes juchés sur des échafaudages à des hauteurs vertigineuses ! J’éprouvais un frisson

libertés publiques et à l'enseignement. « Claude déblatéra contre le romantisme; il préférait ses tas de choux aux guenilles du Moyen Age. Il finit par s'accuser de son eau-forte de la rue Pirouette comme d'une faiblesse. On devait flanquer les vieilles cambuses par terre et faire du moderne . » Zola veut peindre Paris avec des mots comme le font ses amis impressionnistes avec des couleurs matérielles. Zola décrit la nourriture entassée dans le marché des Halles, qu'il transforme en natures mortes. Zola

entendues, presque vécues. 3. Le langage - Utilisation très importante du langage parlé, populaire, c’est presque de l’argot : « les hivers surtout les nettoyaient », « les fringales », « les danses devant le buffet », « les dîners par cœur », « leur cambuse » (= maison), « pas un radis », « le père Boche », « ça soufflait », « ses grandes pattes », « la femme allait faire huit jours » (= euphémisme à la place de prostituée). - On trouve beaucoup d’images, de métaphores : « les nettoyaient », « les dîners