Cambuse

salé", dit aussi "Boit-sans-soif"... Zola écrit qu'il "n'y a plus un radis à la maison", que c'est "un jour de ribote" (d'ivresse), que "le père Colombe" est un "roussin" (un indicateur de la police, appelée "rousse" en argot) ; Zola parle aussi de "cambuse" (le logement), de "fringale" (la faim). Et voici, en conclusion, une phrase typique de Zola, extraite de l'Assommoir : "Tiens ! C'est toi la vieille ! cria le zingueur [...]. Ah ! Elle est farce, par exemple ! [...] Hein ? Pas vrai, elle est farce

attaquée par des forces supérieures, les sentinelles devant probablement être endormies car les Allemands franchirent les fils de ronces tendus en avant et sautèrent dans la tranchée, surprirent les sentinelles et les hommes qui reposaient dans les cambuses. Avant que nous fussions sur pied, 40 de nos camarades étaient prisonniers. Nous sautons sur nos fusils et comme un torrent nous arrivons au secours de la 9ème. C’est une tuerie comme jamais je n’en ai vu dans la tranchée large de 2mètres. C’est

période froide est donc la plus dévastatrice pour la famille. De plus, « S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid, les danses devant le buffets, les dîners par cœur, dans la petite Sibérie de leur cambuse » (l2-4). Lors des périodes de beau temps, les Coupeau ont donc un peu de nourriture mais lorsque l'hiver arrive, la famine est de plus en plus présente et la faim se fait énormément ressentir. Nous pouvons par ailleurs comprendre que c'est une sorte

théâtre). c. Une (dé)construction rythmique et musicale. Les points de suspension acquièrent une valeur rythmique et musicale. Dès Mort à Crédit, on en trouve à profusion : « Elle [sa mère] me proposait aux familles, aux petits façonniers en cambuse, accroupis derrière leurs bocaux… Elle me proposait gentiment… Comme un ustensile en plus… Un petit tâcheron bien commode… pas exigeant… plein d’astuce, de zèle, d’énergie… Et puis surtout courant vite ! Bien avantageux en somme… » La ponctuation

rédigé en 2020 Alma - Le vent se lève . L’imagination se laisse porter et les scènes très imagées sont appuyées par les dessins de François Place. C’est aussi un écrivain exigeant. Le vocabulaire de la marine des mâts à la cambuse en passant par le bastingage comme l’aménagement d’un navire négrier n’auront plus de secret pour lui. Le roman en lui-même est riche tant en contenu qu’en émotions qu’il procure. Seulement, dans quelle mesure Alma est-elle

comparaison ou d’une métaphore en cherchant les deux éléments comparés et l’outil de comparaison. a - Il était maigre comme un oiseau déplumé et tout son dos était strié de marques sanglantes. b - Aussitôt une face rougeaude sortit de l’écoutille de la cambuse, comme un diable qui sort d’une boîte. c - Sa pâleur de craie m’effraya. d - Cette histoire d’amour a été un feu de paille, partie d’un coup de foudre ! e - Le jeune Rouget était un gros garçon d’une douzaine d’années, fort comme un bœuf, dévoué

chantier pour les Gilmour et Louis Vanelet et moi nous bûchions dans le même camp. C’était un bon travaillant, un bon équarrisseur et un bon garçon. Tout le monde aimait surtout à lui entendre raconter des histoires, le soir, autour de la cambuse. Un jour, une escouade de travailleurs nous arriva pour partager notre chantier et il y en avait un parmi les nouveaux arrivants qui connaissait Vanelet et qui venait de la même paroisse que lui, aux environs de Montréal. Ils se saluèrent

Vous gardez juste le cap, là, vers l'est, ou plus simplement vers cette île au loin en face. Lucrèce se place au poste du skipper et prend son rôle au sérieux. Depuis sa place elle voit Zéphirin qui s'active à préparer un gros poisson rouge dans la cambuse. Il utilise toute sortes de condiments, fruits et légumes très parfumés qu'il mélange en chantonnant. Alors que le catamaran file, Zéphirin vint lui servir un verre de jus de papaye et d'alcool de coco. - Eh bien vous vous débrouiller pas mal pour

lesquelles ils s'enfoncèrent de plus en plus. Les hivers surtout les nettoyaient. S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid, les danses devant le buffet, les dîners par cœur, dans la petite Sibérie de leur cambuse. Ce gredin de décembre entrait chez eux par-dessous la porte, et il apportait tous les maux, le chômage des ateliers, les fainéantises engourdies des gelées, la misère noire des temps humides. Le premier hiver, ils firent encore du feu quelquefois

recoins des cabines et nos vêtements sont tout imprégnés de ces embruns fétides. Les hommes ne se retiennent plus de flatuler devant tout le monde au prétexte que de toute façon ça fouette déjà. Les relents acres des sargasses règnent même dans la cambuse, à moins que ce ne soient quelques victuailles qui y moisissent. Je savais bien qu'il ne fallait pas embarquer des cuisiniers français... (...) Vingt-cinq septembre, Alonzo Pizon, le capitaine de la Pinta s'est mis à bramer « ¡ Tierra, tierra