Cambuse

mâchoire de singe, se culottait, prenait des tons de vin bleu. Et il restait un enfant de la gaieté ; il bousculait sa femme, quand elle s'avisait de lui conter ses embarras. Est-ce que les hommes sont faits pour descendre dans ces embêtements ? La cambuse pouvait manquer de pain, ça ne le regardait pas. Il lui fallait sa pâtée matin et soir, et il ne s'inquiétait jamais d'où elle lui tombait. Lorsqu'il passait des semaines sans travailler, il devenait plus exigeant encore. D'ailleurs, il allongeait

indirectes, certaines sont affectables sans ambiguïté aux centres d’analyse grâce à des moyens de mesure. Ces charges directes aux centres d’analyse mais indirectes par rapport à la prestation (voyage), sont appelées charges semi directes (exemple : les cambuses et vivres). Voici les différentes charges directes et indirectes qu’on peut associées à MARPHODEAN : LES NATURES DES CHARGES INDIRECTES ET SEMI DIRECTES ASSOCIEES A MARPHOCEAN : ELEC : Electricité ERLO : entretien et réparation

hôpital, hospice, oasis, protection, réceptacle, recours, repaire, retraite, sanctuaire, tanière [...] Antonyme : danger Cocon : abri, coquille, soie, solitude [...] Cabane : abri, appentis, baraque, bateau, bicoque, cabanon, cagibi, cagna, cahute, cambuse, case, chalet, chaume, chaumière, chaumine, gloriette, gourbi, habitation, hutte, loge, logette, maison, maisonnette, masure, paillote, réduit, remise, yourte [...] maison : abri, appartement, asile, baraque, bâtiment, bâtisse, bercail, bicoque, building

comparaison ou d’une métaphore en cherchant les deux éléments comparés et l’outil de comparaison. a - Il était maigre comme un oiseau déplumé et tout son dos était strié de marques sanglantes. b - Aussitôt une face rougeaude sortit de l’écoutille de la cambuse, comme un diable qui sort d’une boîte. c - Sa pâleur de craie m’effraya. d - Cette histoire d’amour a été un feu de paille, partie d’un coup de foudre ! e - Le jeune Rouget était un gros garçon d’une douzaine d’années, fort comme un bœuf, dévoué

continuait dans le froid du matin. On reconnaissait les serruriers à leurs bourgerons bleus.» (chapitre I). Zola a tendu à un style vigoureux, qui emprunte de nombreux éléments à la langue populaire, qui utilise un argot pittoresque et savoureux : «cambuse» pour «logement exigu» ; «casse-gueule» pour «eau-de-vie très forte» ; «envoyer à Chaillot» pour «envoyer promener» ; «cheulards» pour «buveurs» ; «crevaison» pour «mort» ; «danse» pour «volée de coups» ; «danses devant le buffet», moyens de tromper

continuait dans le froid du matin. On reconnaissait les serruriers à leurs bourgerons bleus.» (chapitre I). Zola a tendu à un style vigoureux, qui emprunte de nombreux éléments à la langue populaire, qui utilise un argot pittoresque et savoureux : «cambuse» pour «logement exigu» ; «casse-gueule» pour «eau-de-vie très forte» ; «envoyer à Chaillot» pour «envoyer promener» ; «cheulards» pour «buveurs» ; «crevaison» pour «mort» ; «danse» pour «volée de coups» ; «danses devant le buffet», moyens de tromper

continuait dans le froid du matin. On reconnaissait les serruriers à leurs bourgerons bleus.» (chapitre I). Zola a tendu à un style vigoureux, qui emprunte de nombreux éléments à la langue populaire, qui utilise un argot pittoresque et savoureux : «cambuse» pour «logement exigu» ; «casse-gueule» pour «eau-de-vie très forte» ; «envoyer à Chaillot» pour «envoyer promener» ; «cheulards» pour «buveurs» ; «crevaison» pour «mort» ; «danse» pour «volée de coups» ; «danses devant le buffet», moyens de tromper

carrefours ; tu voyais des bonshommes monter en tourniquant, toujours bien à des quinze mètres dans l'air du temps, et des morceaux de pantalon rester accrochés tout en haute des arbres qu'il y avait encore. Tu voyais de ces 380-là entrer dans une cambuse, à Verdun, par le toit, trouer deux ou trois étages, éclater en vas, et toute la grande niche être forcée de sauter ; et dans les campagnes, des bataillons entiers se disperser et s' planquer sous la rafale comme un pauv' petit gibier sans défense

vais commencer mon histoire en faisant un grand signe de croix pour chasser le diable et ses diablotins. J’en ai eu assez de ces maudits-là dans mon jeune temps. Pas un homme ne fit mine de sortir ; au contraire tous se rapprochèrent de la cambuse où le cook finissait son préambule et se préparait à raconter une histoire de circonstance. On était à la veille du jour de l’an 1858, en pleine forêt vierge, dans les chantiers des Ross, 13en haut de la Gatineau. La saison avait été dure et

lesquelles ils s'enfoncèrent de plus en plus. Les hivers surtout les nettoyaient. S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid, les danses devant le buffet, les dîners par cœur, dans la petite Sibérie de leur cambuse. Ce gredin de décembre entrait chez eux par-dessous la porte, et il apportait tous les maux, le chômage des ateliers, les fainéantises engourdies des gelées, la misère noire des temps humides. Le premier hiver, ils firent encore du feu quelquefois