Cannibalisme

Le cannibalisme est une pratique qui consiste à consommer (complètement ou partiellement) un individu de sa propre espèce. L'expression s'applique à la fois aux animaux qui dévorent des membres de leur groupe (cannibalisme animal) et aux êtres humains qui consomment de la chair humaine (cannibalisme ou anthropophagie). Le terme cannibale provient du mot caniba ou cariba utilisé par les Taïnos que Christophe Colomb a rencontrés lors de son premier séjour sur Hispaniola. Il désignait alors, selon

que le cannibalisme ? Le cannibalisme est une pratique qui consiste a manger un être de la même espèce... on parle alors de cannibalisme animal ou de cannibalisme humain, autrement dit de l’anthropophagie. On retrouve également des dérives de ce mot telle que l'exocannibalisme qui consiste à a manger la chair de ses ennemi(e)s , réprésentant pour certaine tribus indigène la force, la bravoure et certaine qualité guerrières, et nous retrouvons également l'hémophagie qui est le cannibalisme du sang

29 septembre 1759Installés dans la cabine du capitaine VAN DAYSSEL, à bord de la virginie, notre voyage vers le CHILI se poursuivit tant bien que mal sous des vents de plus en plus violents. Se voulant rassurant, le capitaine me proposa une partie de cartes et qu'elle ne fut pas ma frayeur lorsque nous avons, je pense, percuté un récif ou rencontré un banc de sable alors que la carte nous décrivait le contraire.Malgré, sa robustesse, la belle galiote «  LA VIRGINIE » s'est écrasé contre l'un d'entre

Couper-Coller : Attaques corporelles et cannibalisme chez les Anga de Nouvelle-Guinée Pierre Lemonnier Cet article traite des Anga, peuples de Nouvelle-Guinée (en particulier les Ankave, les Baruya et les Watchakès) et compare leur rapport au cannibalisme dû aux maladies et au non-respect de leurs valeurs sociales et comment ces pratiques influent sur les relations de ces groupes. Il a été écrit par Pierre Lemonnier, ethnologue français, qui partit chez les Baruyas de Papouasie Nouvelle-Guinée

et d’effroi, ils ne savent que c’est ». Description presque scientifique, sans jugement l. 8-9. - Ligne 9-14 : Phrase longue + effet de surprise à la fin = « assommer ». - Ligne 15 : description sans jugement alors qu’il décrit une scène de cannibalisme + comparaison avec les Grecs : //.17 : // de construction et opposition par la négation « ce n’est pas pour…c’est pour… »). Affirmation pour montrer l’équivoque dans laquelle nous pourrions tomber (« comme on pense » : pronom indéfini à valeur

« chefs de la secte stoïque, les seconds sont « nos ancêtres » et pour les troisièmes, Montaigne donne de l’importance à la citation en la laissant en latin, la langue de Juvénal, et en la mettant entre guillemet. Ensuite il montre leur avis sur le cannibalisme

à 368 La découverte de l’Amérique en 1492 dévoila au monde occidental de nouvelles cultures, mais elle souleva nombreuses questions, notamment en ce qui concerne les indiens et leurs moeurs. Au coeur de ces interrogations se trouve celle du cannibalisme, qui fascine et horrifie à la fois. De nombreux auteurs s’y sont attachés, dont Jean de Léry, calviniste réformé du XVIe siècle qui relata le voyage qu’il fit au Brésil dans sa jeunesse. Léry ayant lui-même vécu parmi les indiens, son Histoire

choqué les Européens lors des conquêtes : la polygamie et le cannibalisme. C’est donc pour cela qu’il dédie une partie de son texte à défendre ces deux coutumes. Lorsqu’il s’agit de la polygamie, il n’a aucun mal à la justifier mais pour le cannibalisme, la défense reste difficile. Malgré l’époque, Montaigne ne peut se contenter de laisser un élément aussi important sans argument. C’est donc pour cela qu’il explicite la fonction du cannibalisme en assurant que ce peuple est cruel pour cause de la guerre

Séance 3 Justifier le cannibalisme Texte 2 : Voltaire, article « Anthropophages », extrait du Dictionnaire philosophique (1764) En 1725 on amena quatre sauvages du Mississipi à Fontainebleau, j’eus l’honneur de les entretenir; il y avait parmi eux une dame du pays, à qui je demandai si elle avait mangé des hommes; elle me répondit très naïvement qu’elle en avait mangé. Je parus un peu scandalisé; elle s’excusa en disant qu’il valait mieux manger son ennemi mort que de le laisser dévorer aux

fois le moyen d’agir et une partie de la matière sur laquelle on agit -> Cela constitue un système. Cannibalisme : Typologie du cannibalisme : - survie (détresse alimentaire) - psycho pathologique (pulsions cannibales) - médical (placentophagie) - sacrificiel (rites) = endo-cannibalisme - guerrier (ennemi tué au combat) = exo-cannibalisme Pour la société des Tupinamba, le cannibalisme constitue un élément important : ces rituels ont pris tout leur sens dans la culture et leur organisation