Catulle

ni qu’elle ne me revienne -ce que je n’ose espérer- , je demande seulement que l’on me guérisse de cette maladie noire. Je vous prie de m’accorder cette grâce, ô dieux, pour le prix de ma piété. Commentaires : Il y a cette fois de la part de Catulle un certain mépris pour Lesbie, il considère qu’elle l’a trahi (menti), que cette femme qu’il a tant aimé se trouve finalement ne pas être reconnaissante envers l’auteur. Il a donc enfin un certain détachement par rapport à elle, mais on dirait qu’il

d'économie politique et sociale1. À sa sortie de la prison de Sainte-Pélagie, Ricard ouvre un nouveau salon, politique et littéraire, dans les appartements de sa mère, où fréquentent, outre Verlaine et son ami (et futur biographe) Edmond Lepelletier, Catulle Mendès, José-Maria de Heredia, François Coppée, Villiers de l'Isle-Adam, ou encore Anatole France-Thibault2. Les frères de Goncourt donneront dans leur Journal une description peu amène de ce cénacle : « C'est dans une maison des Batignolles

Ce texte est extrait d'un recueil s'appelant Poésies. Il est écrit par Catulle (87-54 av. J-C), poète élégiaque romain dont on sait peu de choses si ce n’est que, originaire de Vérone, il vint à Rome, fréquenta les cercles littéraires et mondains et connut Cicéron et César. Ce texte est l'un des 116 poèmes de ce recueil. Ces vers parlent de l'amour entre Catulle et le premier amour de sa vie qui fut Clodia, femme plus âgée que lui, très courtisée et volage, qu’il évoque sous le nom de « Lesbia »

juste à leur « muse » et non fondée sur un travail élaboré de leurs écrits. * Théophile Gautier * Théodore de Banville Les parnassiens les plus célèbres[modifier] * Leconte de Lisle, considéré comme la tête de file du mouvement, * Catulle Mendès, * Sully Prudhomme, * José-Maria de Heredia, * François Coppée, * Léon Dierx, Citations « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelque besoin

Gautier, femme de Catulle Mendès, grande amie de Richard Wagner. Dans l’histoire de la littérature française, elle n’occupe pas une place importante. Il en est de même dans le domaine de la recherche. On ne l’aperçoit que dans quelques livres, en quelques lignes. C’est ainsi que Muriel Détrie écrit dans son article intitulé de ‘Le Livre de Jade de Judith Gautier : un livre pionnier’ : «Qui se souvient aujourd’hui du Livre de Jade hormis les bibliophiles? » Malgré l’opinion de Catulle Mendès, d’après

CATULLE c.76 : Les sentiments de Catulle sont difficiles à cerner puisqu’ils sont en éternel mouvement. Cependant dans le poème 76 que nous allons étudier, le poète nous montre une évolution de ses sentiments dans un dédale poétique en 26 vers. Dans un premier temps il faut essayer de définir quelles sont les trois parties du poème où s’exprime des sentiments différents. Dans un premier temps nous étudierons les vers 1 à 9, dans un second temps les vers 10 à 16, et enfin, les vers 17 à 26.

Ce principe va être accentué par le concept de l'art pour l'art. Les précurseurs: - Théophile GAUTIER - Théodore de BANVILLE Les parnassiens les plus célèbres: Leconte de Lisle ( considéré comme le chef de file du mouvement) Catulle Mendès Sully Prudhomme José-Marie de Heredia François Coppée Léon Dierx

carrière de fonctionnaire. * 1865 : chargé de la critique littéraire dans la revue « L’Art », éloges d’Hugo et Baudelaire. Fréquentation des cafés et salons parisiens. Rencontres de parnassiens : François Coppée, Anatole France, José-Maria de Heredia, Catulle Mendès et Leconte de Lisle. *1866 : participation au premier Parnasse contemporain, premières œuvres à son compte, où se ressent l’influence de Baudelaire. *1870 : mariage à Mathilde Mauté *1871 : Siège de Paris, troubles de la Commune et rencontre

nouvelles formes tout en respectant, dans les limites des connaissances de son temps, la vérité historique. La grande vogue parnassienne a duré une demi-douzaine d'années, vers 1860-66. Des publications éphémères comme La Revue fantaisiste (1861) de Catulle Mendès et Le Nain jaune (1864) permettent à l'esthétique parnassienne de se mieux faire connaître. Toutefois, c'est surtout Le Parnasse contemporain, dont la première livraison a été publiée en 1866 et la seconde en 1871, qui établit le prestige de

mort d'Auguste Dumont (1885), la direction fut reprise par l'imprimeur Dubuisson, qui créa un supplément hebdomadaire, le « GIL BLAS ILLUSTRÉ ». Puis lui succédèrent René d'Hubert et Jules Guérin. Mais, en 1888, une partie de la rédaction initiale — Catulle Mendès, Armand Silvestre et Fernand Xau, notamment — passa à « l'Écho de Paris ». Et commença alors le lent déclin du journal. En 1903, son tirage était tombé à 5 000 exemplaires. En 1911, le journal fut repris par Antonin Périnier et l'éditeur Ollendorf