CD4

fusion de cellules épithélioïdes, sont volumineuses, multi nucléées et présentent parfois des inclusions. Ce follicule giganto-épithélioïde est entouré d’une couronne de lymphocytes + activés, majoritairement T CD8 et B, alors que les lymphocytes T CD4+ prédominent au sein du granulome. Le granulome sarcoïdien est non caséeux contrairement au granulome tuberculeux. Le plus souvent, le granulome évolue spontanément ou sous traitement vers la résolution sans séquelles. Plus rarement, il persiste

continu autour des cellules. Les deux sorte de glycoprot駟ne sont gp120 et gp41. Celle-ci traverse la bicouche lipidique alors que la mol馗ule de gp120 se trouve la surface de la membrane. Ces deux mol馗ules car elle permet la liaison avec les r馗epteurs CD4 sur les lymphocyte T. Le g駭ome du virus est composde deux copie d'ARN assocideux mol馗ules de transcriptase inverse. Le g駭ome est enveloppdans une structure prot駟que qu'on appelle nucl駮capside. Elle permet de prot馮er le g駭ome et a une forme g駮m騁rique

immunoglobulines, et reçoit pour cela en 1987 le prix Nobel ; la même année, Leroy Hood fait de même pour les gènes du récepteur des cellules T. Un autre concept émerge en 1986: celui de l'orientation de la réponse immunitaire. Basé sur le rôle des lymphocytes T CD4+, ce concept, développé par Robert Coffman et Tim Mosmann, présente la dichotomie entre une « Th1 », réponse orientée contre des cellules d'une part, qui produira des lymphocytes cytotoxiques spécifiques, comme dans le cas du cancer ou d'une infection

Les cellules cibles du VIH sont principalement des cellules immunitaires, c'est à dire les lympocytes T4, les monocytes et macrophages. Ces cellules possèdent à leur surface le marqueur CD4. Ce sont de véritables réservoires à virus nottament dans les ganglions lymphatiques. Le virus s'ammarre aux marqueurs CD4 par sa protéine GP120. En même temps le correcepteur CCRS de la cellule s'associe à la P41 du virus. Le virus peut alors pénétrer dans la cellule. La capside s'ouvre et libère l'ARN du virus

grands types de lymphocytes T, en fonction des corécepteurs qu’ils expriment: CD4 ou CD8. Les LyT CD4 reconnaissent les peptides présentes par HLA classe II. Les LyT CD8 reconnaissent les peptides présentes par HLA classe I. Les Ly T CD8 sont cytotoxiques envers les cellules infectées par un germe intracellulaire (virus++), lorsqu’ils reconnaissent leur Ag spécifique présente par une molécule HLA. Les lymphocytes T CD4+ ont de très nombreux rôles, en interagissant avec de nombreux types cellulaires

l’adulte (ATLL). L’ATLL résulte de la prolifération maligne d’un clone T CD4+ porteur d’un provirus. Au stade asymptomatique de l’infection il existe une expansion clonale persistante des cellules infectées. Elle repose sur une mise en cycle des lymphocytes CD4+ infectés et une résistance des CD8+ infectés à l’apoptose. Ces Ex vivo, HTLV-1 n'entraîne pas la mise en cycle des clones T résultats ont été obtenus par CD4+ mais diminue la proportion de cellules CD8+ en apoptose. l’étude de clones

vaccinale, le risque est identique à celui couru par la population générale. Certains éléments doivent être pris en compte : – la réponse immunitaire est moins bonne que celle des personnes non infectées, en particulier lorsque le taux de lymphocytes T CD4 est inférieur à 500/mm³, et a fortiori à 200/mm³, et/ou que la charge virale VIH est détectable. La durée de la protection peut être plus courte que dans la population générale ; – la vaccination pourrait entraîner une augmentation transitoire de la

sang prouve la séropositivé. 2/EXPLICATION: La contamination du SIDA se fait selon trois principaux modes: voie sexuelle,voie sanguine et de la mère a l'enfant.Il penettre dans l'organisme. A sa surface,des proteines reconnaissent les recepteurs CD4 des lymphocytes T et s'y fixent. Le virus fusionne alors sa membrane avec celle,afin de faire entrer son materiel genetique et certaines enzynes. Ce materiel est sous forme d'ARN-hors celui des lymphocytes est sous forme d'ADN. a-voie sexuelle: Le

jusqu’à le rendre indétectable et d’augmenter le nombre de lymphocytes T CD4+.Le suivi des patients permet de diminuer le risque de complications. La complexité croissante des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART) nécessite une surveillance étroite de la tolérance des traitements. La décision de débuter un traitement antirétroviral et le choix des médicaments s’appuient sur différents éléments (nombre de lymphocytes T CD4+, multiplication du virus, caractéristiques du patient...).

allaités dont la mère est séropositive, Le risque de transmission du VIH varie de : A- 15 à 45% B- 50 à 75% C- 15 à 30% D- 100% Q26 Au cours de l’évolution de l’infection à VIH, le nombre de virus dans le sang est proportionnel au taux de CD4 A- VRAI B- FAUX Q27 Le mode de transmission verticale de l’infection à VIH représente 3% : A- VRAI B- FAUX Q28 Les moyens de prévention de la transmission sexuelle du VIH sont : abstinence, rapports