Cela s'appelle l'aurore

longtemps par les auteurs la correspondance peut-être une forme d’argumentation. Ainsi la lettre peut s’adresser à un destinataire, mais aussi au public. C’est d’ailleurs le cas dans le J’accuse d’Emile Zola, cette lettre publié en 1898 dans le journal l’aurore sous le format d’une lettre ouverte. Paru deux jours après l’acquittement d’Esterhazy, pour soutenir Dreyfus, Zola y attaque notamment les généraux et les officiers mais aussi les responsables d’écritures pour rapports frauduleux et mensongers. Zola

Sinon que, morte, a parfaite science  De ce que, vive, eût bien voulu connaître. J’ai choisi se poème car il précise le passage de la vie a la mort et c’est se que je recherche dans mes poème. Antoine dans son poème parle d’une fille qui s’appelle Marguerite (Marguerite de Navarre est la sœur de François 1 er). Dans ce poème Antoine précise le changement de la vie a la mort en disant qu’il ou elle sera séparé de son corps et de la séparation de la vie Vers.1-2 ‘’Si la mort {…} de corps

tableaux mon âme indifférente N'éprouve devant eux ni charme ni transports ; Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis : " Nulle part le bonheur ne m'attend. " Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts

infidélités, complots, vengeances…), mais avec leurs pouvoirs surnaturels, les conséquences de leurs actes peuvent être tragiques pour les humains. Enfin, les croyances des Grecs prêtaient un caractère divin et animé à certains éléments de la nature : l’aurore, les vents, les fleuves… L’Iliade en fournit bon nombre d’exemples. ACTIVITÉS 1. Réaliser à plusieurs un panneau consacré aux dieux olympiens Pour ce faire, complète le tableau. NOM ET ÉPITHÈTES DU DIEU Zeus maître de l’égide ; le Berger

Réséda Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous deux adoraient la belle Prisonnière des soldats Lequel montait à l'échelle Et lequel guettait en bas Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Qu'importe comment s'appelle Cette clarté sur leur pas Que l'un fut de la chapelle Et l'autre s'y dérobât Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous les deux étaient fidèles Des lèvres du coeur des bras Et tous les deux disaient qu'elle Vive et qui vivra

Clytemnestre. La dernière scène montre bien qu'Électre, en rétablissant la vérité, s'est maudite et dépossédée, décimant la ville. L'éclat de cette vérité était trop violent. La dernière réplique « Cela a un très beau nom, Femme Narsès, cela s'appelle l'aurore » termine la pièce sur une ambiguïté délicieuse. L’action se déroule dans l’unique décor des remparts d’Argos, se concentrant sur la nuit où Électre découvre la vérité au sujet de la mort, officiellement accidentelle de son père Agamemnon.

militaires qui ne veulent pas revenir sur leur parole. La famille Dreyfus va présenter le dossier de l'affaire à Zola qui va faire un scandale. b) ...qui prends une importance politique nationale... Zola va publier un article sur le journal « L'Aurore » dirigé par Clemenceau. Il s'adresse au Président de la République, par lettre ouverte ; le titre : « J'accuse », il accuse tous ceux de l'affaire qui ont enfermé un innocent (accusations : erreur judiciaire, machination, accusation d'un innocent

Clytemnestre. La dernière scène montre bien qu'Électre, en rétablissant la vérité, s'est maudite et dépossédée, décimant la ville. L'éclat de cette vérité était trop violent. La dernière réplique « Cela a un très beau nom, Femme Narsès, cela s'appelle l'aurore » termine la pièce sur une ambiguïté délicieuse. Personnages ELECTRE : Elle est la fille d'Agamemnon et de Clytemnestre, et la súur d'Oreste. Elle est la seule descendante du roi d'Argos à exister réellement à ce moment de l'histoire des Atrides

Constitution qui met le pouvoir entre les mains d’un président, éligible pour quatre ans seulement. Proposé par Thiers (qui avait déjà soutenu en 1830 Louis-Philippe), le nouveau président sera largement élu par le peuple français, dès décembre 1848, il s’appelle Louis-Napoléon Bonaparte, il est le neveu du grand empereur. Encore une fois, ce mouvement populaire qui fait tomber dictatures et régimes autoritaires va être progressivement étouffé par le nouvel arrivant. L’Assemblée, qui renforce dès 1849 sa

de la pièce. La dernière scène montre bien qu'Électre, en rétablissant la vérité, s'est maudite et dépossédée, décimant la ville. L'éclat de cette vérité était trop violent. La dernière réplique « Cela a un très beau nom, Femme Narsès, cela s'appelle l'aurore » termine la pièce sur une ambiguïté délicieuse. Sur le mythe d'Electre en général : II- Le mythe d’Electre dans la tragédie grecque A. Une malédiction divine implacable Le mythe d’Electre apparaît dans la littérature grecque dès le