Charles de Basse-Lotharingie

passe avant l'intérêt du roi. B - L’effondrement de la dynastie carolingienne À partir de la fin du IXe siècle, les rois carolingiens règnent trop peu de temps pour être efficaces : Louis II reste roi des Francs deux ans (877-879) ; Charles III le Gros gouverne trois ans (884-887) ; Louis III est roi pendant trois ans (879-882) ; le dernier roi carolingien, Louis V, est mort d'un accident de chasse au bout d'à peine un an (986-987). Quant aux rois Louis IV et Lothaire, bien que très

Le texte est un poème au roi capétien de France Robert écrit par Adalberon de Laon en 1025 qui expose la tripartition sociale. Il confirme se positions sur l'ordre social.  Adalbéron de Laon était chancelier du roi Lothaire puis nommé évêque de Laon par Lothaire en 977. Il était descendant de sang royal issus des Carolingiens et des Capétiens.  Dans son poème, il mentionne deux lois qui régissent les ordres de la Res publica(La Republique) pour assurer et maintenir la paix de l'Eglise. Il démontre

des marquis et des magraves. Serments de Strasbourgs (842-IXe siècle) : lors d’une assemblée à Strasbourg Charles le Chauve et Louis le Germanique s’allient contre Lothaire qui veut le pouvoir pour lui tout seul. Ils prêtent serment l’un envers l’autre. Traité de Verdun : il partage l’empire carolingien entre les 3 fils de Louis le Pieu (Fils de Charlemagne). Francie Occidentale : Charles le Chauve. Francie orientale : Louis le Germanique. Francie Médiane : Lothaire. Bataille du Lechfeld (955-Xe

du pouvoir en Francie occidentale en 888 est déjà marquée du sceau de l'éclatement et de la compétition. Charles le Chauve, empereur malade, ne remplissait plus sa fonction et avait été désavoué par les grands de la Francie orientale qui avait porté Arnulf à leur tête. À l'ouest, c'est déjà le partage en principautés où le jeu des pouvoirs a été orchestré par Gauzlin, archichancelier de Charles le Chauve devenu évêque de Paris en 884. Mais après sa disparition l'homme fort de la Neustrie est Eudes

titre de Dux Francorum par le roi Charles le Gros, il se distingua par sa défense de Paris contre les Normands (885/87). Après la déposition de Charles le Gros (887), il fut désigné comme roi par les grands vassaux (888). Mais quelques années plus tard, il dut lutter contre le Carolingien Charles le Simple et finit par traité avec lui, lui abandonnant tout le pays entre le Rhin et la Seine, cependant il se réservait Paris et la France occidentale ; il reconnut Charles pour successeur. Pépin de Herstal :

l’introduction, de la première partie et du chapitre I de la partie II Introduction (Geneviève Bührer-Thierry, Thomas Deswarte) La question porte sur l’évolution des royaumes issus de l’empire carolingien, qui disparaît à la mort de Charles le Gros en 888. L’Italie est exclue de la question. La Germanie est en expansion vers l’Est, l’empire est rétabli en 962 par Otton Ier. Le royaume de Bourgogne est accaparé par Conrad II en 1032. La France est divisée en une multitude de principautés

75928. Il intervient même hors de ses frontières en créant notamment les États pontificaux après une campagne contre les Lombards. À sa mort, il partage selon la tradition franque, son royaume entre ses deux fils, Carloman et Charles mais la mort précoce de Carloman permet à Charles de régner sur un royaume des Francs unifié. Le royaume des Francs (regnum francorum) connaît sa plus grande expansion sous Charlemagne. Celui-ci étend le royaume jusqu'en Saxe à l'est, au prix de 20 années de guerre, en Bretagne

de commandement. Gélase accorde ce pouvoir aux rois. ( L’Empire carolingien a su faire la synthèse de ces deux pouvoirs : l’empire = une société chrétienne parfaite = la RESPUBLICA CHRISTIANA. La dislocation de l’empire à la mort de CHARLES LE GROS en 888 pose à nouveaux la question des pouvoirs. L’Eglise récupère peu à peu l’auctritas au terme du long mouvement appelé REFORME GREGORIENNE. Les principautés s’affirment dans le jeu politique du Xe-XIe siècles. Elles sont gouvernées

Charlemagne, la vallée de la Meuse devient le centre politique et économique de l'empire carolingien. À Charlemagne succéda Louis le Pieux. Son règne fut marqué à partir de 829 par les querelles entre le souverain et ses fils, Lothaire, Pépin, Louis et Charles. Louis le Pieux mourut en 840 et les luttes entre ses trois fils survivants reprirent de plus belle. En août 843 est enfin conclu le traité de Verdun, qui divise l'empire entre les trois petits-fils de Charlemagne. Le royaume de l'empereur Lothaire

pour parfaire ses connaissances en logique, Gerbert rejoint Reims, un des plus grands centres d’études d’Occident, où siège, depuis 969, l’archevêque Adalbéron. Ce dernier est lui aussi un fidèle des Ottoniens : il est issu d’une grande famille de Lotharingie (future Lorraine), le berceau du pouvoir carolingien, le c½ur de l’empire de Charlemagne. Adalbéron ne tarde pas à confier au brillant mathématicien la direction de l’école cathédrale, qui va devenir l’un des centres de la culture de la fin du xe