Charles VII

Henri IV et Gabrielle d'Estrées auront : • César (7 juin 1594 à Coucy –1665), duc de Vendôme, marié en 1609 à Françoise de Lorraine-Mercœur ; • Catherine Henriette (11 novembre 1596 à Rouen –1663), dite « Mademoiselle de Vendôme », mariée à Charles II de Lorraine, duc d'Elbeuf et comte d'Harcourt ; • Alexandre (19 avril 1598 à Nantes –1629), dit le « Chevalier de Vendôme ». Gabrielle d'Estrées, née au château de la Bourdaisière ou au château DE Cœuvres probablement vers 15731, et morte

couronne britannique passa à la maison de Saxe-Cobourg-Gotha (nom britannique de la maison de Wettin) représentée par son fils Édouard VII et son petit-fils George V. Ce dernier, sous la pression de l'opinion publique, changea son nom jugé trop germanique en période de Première Guerre mondiale, en Windsor (1917). Cette maison fut prolongée par son fils Edouard VII, son petit-fils Georges V, ses arrières petits-fils Édouard VIII et Georges VI et son arrière arrière-petite-fille, l'actuelle reine Élisabeth

insurgés madrilènes, le 3 mai 1808. L'oeuvre (266×345cm) est conservée au musée du Prado à Madrid. Au moment de l'insurrection, c?est le frère de Napoléon 1er, Joseph Bonaparte , qui dirige l'Espagne. Lorsque Goya réalise ce tableau, Ferdinand VII, qui avait dû abdiquer en 1808, a retrouvé son trône. Description : Cette scène représente l'exécution des Madrilènes, tombés aux mains de l?armée française. Les Espagnols se sont révoltés contre les Français car l?Espagne est occupée militairement

Cette pièce de théâtre est un drame traitant d'un sujet historique. L'action se déroule au XVIe siècle, dans la cité de Florence, sous le règne du duc Alexandre de Médicis, placé au pouvoir, en 1530, par l'empereur du Saint Empire Charles Quint et le pape Clément VII (Jules de Médicis). Régnant en véritable tyran sur la ville, le duc profite d'une vie de débauche, souvent accompagné de son cousin Lorenzo, jusqu'au jour où se dernier dévoile ses véritables opinions politiques en décidant d'assassiner

constitution ". Elle se présente, en effet, comme un exposé doctrinal des principes qui règlent les rapports entre le pouvoir spirituel de l’Église et les pouvoirs temporels. Quant au fond, rien de neuf, par rapport aux textes promulgués depuis Grégoire VII. Ce qui lui vaut sa notoriété, c’est surtout sa conclusion solennelle et dogmatique : " Il est de nécessité de salut de croire que toute créature humaine est soumise au pontife romain : nous le déclarons, l’énonçons et le définissons. " Sous cette formule

PtolemyCoinWithAlexanderWearingElephantScalp.jpgEgyptiens Commandants SPQRomani.svgMarcus Vipsanius Agrippa SPQRomani.svgMarcus Lurius SPQRomani.svg Titus Statilius Taurus SPQRomani.svgLucius Arruncio SPQRomani.svgMarc Antoine PtolemyCoinWithAlexanderWearingElephantScalp.jpgCléopâtre VII SPQRomani.svgLucius Gellius Publicola SPQRomani.svgCaius Sosius Forces en présence 400 navires 92000 hommes (80 000 soldats et 12 000 cavaliers) 500 navires (dont 300 romains et 200 égyptiens) 112000 hommes (100 000 soldats et 12 000 cavaliers)

par la résistance nationaliste à l'empire de Charles Quint. En 1527, les Florentins expulsent les Médicis et rétablissent la constitution républicaine. Mais en 1530 le pape Clément VII (Jules de Médicis), avec l'appui de Charles Quint nouvellement élu empereur, impose Alexandre comme duc de Florence. Alexandre est officiellement fils de Laurent II, lui-même fils de Pierre II, cousin de Jules ; mais on murmure qu'il serait le propre fils de Clément VII et d'une servante maure. Les grandes familles

Terreur dans des massacres ignobles d'ecclésiastiques et de religieux. La cérémonie est quelque peu brouillonne et totalement dénuée de spiritualité et de recueillement. Elle s'éternise pendant trois longues heures dans le froid vif de décembre. Pie VII donne l'onction à Napoléon et Joséphine, humectant d'huile sainte leur front et leurs deux mains. Après la messe, il bénit les emblèmes impériaux : anneau, épée et manteau. 2. Description du tableau Le Sacre de Napoléon, est un tableau peint entre

Bonaparte (1768-1844) : après le couronnement, il reçut le titre de prince impérial. Puis il fut roi de Naples en 1806 et d'Espagne en 1808. Le jeune Napoléon-Charles (1802-1807), fils de Louis Bonaparte et d'Hortense de Beauharnais. Les sœurs de Napoléon (Elisa, Pauline et Caroline) Le pape Pie VII (1742-1823), se contente de bénir le couronnement. Il est ntouré par les dignitaires ecclésiastiques, nommés par Napoléon depuis le Concordat. Afin de ne pas compromettre

de l’Eglise de l’Occident, le Pape, va prétendre exercer un pouvoir supérieur à celui des chefs politiques. Notre période commence en 1050 avec la première prétention dans ce sens par les papes, ces prétentions sont exprimées par le fameux Grégoire VII (pape de 1073 à 1085) qui a donné son nom à la réforme grégorienne [cf. Texte n°10 : les Dictatus papae, qui affirme quelque chose qui est une nouveauté, la prise de pouvoir des papes sur les empereurs sur tous les pouvoirs séculiers]. L’histoire de