Choc anaphylactique

céphalées, troubles de la vision, baisse de l'acuité auditive, nausées et diarrhées ; régression à la diminution des doses, nécessite rarement l'arrêt du traitement. • Photosensibilité ; allergie (prurit, urticaire, éruption cutanée généralisée, choc anaphylactique). • Thrombopénie, purpura thrombocytopénique. • Anémie hémolytique aiguë parfois grave et compliquée d'insuffisance rénale aiguë (fièvre bilieuse hémoglobinurique). • Modifications mineures aux doses thérapeutiques de l'électrocardiogramme (augmentation

réactions d'hypersensibilité (choc anaphylactique, urticaire). Non recommandé chez l'enfant de moins de 3 ans. Voie injectable : risque d'hypersensibilité avec hypotension, dyspnée, bouffée de chaleur, trouble de la circulation. Voie orale : troubles digestifs (nausées, vomissements, coliques). Ne pas donner en cas d'occlusion intestinale. Voie topique : risque d'eczéma de contact. Risque de survenue de réactions d'hypersensibilité (choc anaphylactique et urticaire). Risque de

Hypersensibilité aux paracétamol ou aux autres constituants Insuffisance hépatocellulaire sévère Phénylcétonurie, en raison de la présence d'aspartam Effets indésirables : Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, œdème de Quincke, erythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés. DEXERYL – crème en tube : le matin Traitement d'appoint des états de sécheresse

appareils circulatoire , etc…) La crise survient immédiatement ou quelques minutes après le contact avec l’allergène. La réaction d’hypersensibilité immédiate peut être – localisée (rhume allergique, asthme, urticaire, œdème) – généralisé c’est le choc anaphylactique généralisé, ceux ci peuvent être mortel. Les principaux allergènes : - allergènes de l’air ambiant (pollen, plume poil ) - allergène de la maison (50% des allergies respiratoire) - allergènes alimentaires (urticaire) - allergènes médicamenteux

s’agit d’un effet rare, exceptionnel et qui n’a aucune chance d’être détecté au cours des études cliniques classiques. On trouve de l’allergie, l’hypersensibilité, de l’anémie hémolytique, des attaques de la lignée blanche (agranulocytoses), choc anaphylactique (avec l’allergie), hépatites sévères, atteintes rénales ou bien d’autres organes comme le cœur : le médicament peut être alors retiré du marché. • C’est l’exemple du Rofécoxib qui était utilisé comme AINS mais il provoquait des risques d’augmentation

Atracurium : TACRIUM® ; Mivacurium : MIVACRON®. Pour intervention de longue durée EI des curares : allergisant qui peut aller d’une simple rougeur à un choc anaphylactique - Les curares dépolarisants : hyperkaliémie (mort subite possible), tachycardie, troubles broncho-pulmonaires - Pour les curares non dépolarisants : hyperkaliémie, choc anaphylactique 5) Risques liés à l’AG et solutions Au moins 6h avant l’anesthésie ne pas manger, et arrêter selon l’avis du médecin certains médicaments si

peut créer un risque hémorragique en cas d'intervention chirurgicale. - Réaction d'hypersensibilité : accidents de sensibilisation (urticaire, asthme, oedème de Quincke). accident anaphylactique). - Autres : douleurs abdominales Doliprane : Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, oedème de Quincke, érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportées. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés. De très exceptionnels

Valérie Chabot, assistante médicale. Nous tenons à remercier le Dr Hervé Delplancq du SAMU 67 pour sa relecture critique. TABLE DES MATIERES SOINS INFIRMIERS EN CAS DE : FICHE N°: ACCIDENT POST VACCINAL 13 AGITATION AIGUE 17 CHOC ANAPHYLACTIQUE 11 CHOC HYPOVOLEMIQUE - HEMORRAGIQUE 10 COLIQUE NEPHRETIQUE 16 CRISE D'ASTHME 4 CRISE DE TETANIE 14 DOULEURS ABDOMINALES AIGUES 15 DOULEURS THORACIQUES 1 DOULEUR VERTEBRALE AIGÜE 23 ELECTRISATION 19 EPILEPSIE (CRISE) 8 EXPOSITION

non appareillé, hyperthyroïdie par surcharge iodée, diabète de type 2 multi compliqué et une rétinopathie proliférative Elle est également allergique au ceftriaxone Février 2013 septicémie en conséquences d’une infection urinaire et deux choc anaphylactique Traitements Amlor 5 mg (1-0-0-0) inhibiteur calcique (antihypertenseur) Dafalgan effervescent 1g (1-1-1-1) antalgique paracétamol palier 1 Domperidone 10 mg (1-1-1-0) antispasmodique Pariet 20 mg (1-0-1-0) IPP (protecteur gastrique)

Cytokines • Rôle immédiat : par exemple TNF-a des mastocytes dans le choc anaphylactique (cf. choc septique sur LPS) • Rôle chimiotactique avec conséquences plus tardives – Éotaxine (ECF-A) et IL-5 : rôle essentiel dans le recrutement des éosinophiles – IL-8 : recrutement des polynucléaires – IL-4 : diffusion de la réponse Th2 Quelques exemples cliniques : • Choc anaphylactique : est une reaction systhémique généralisée de type I contre un allérgène