Choc pétrolier

l’arrivé d’innombrables innovations technologiques (télévision, électro-ménager…). Des barrages hydrauliques sont construits ainsi que de nombreuses centrales thermiques sont érigées afin de satisfaire les besoins des Français. Suite au premier choc pétrolier de 1973, le prix de l’énergie est multipliée par quatre, il est alors impératif pour EDF de diversifier ses moyens d’obtenir la précieuse électricité. La construction de 13 centrales nucléaires est alors amorcée dès 1974. Depuis peu, la question

il n’est pas aisé d’agir sur le niveau de consommation globale car celle-ci dépend de facteurs économiques et psychosociologiques peu identifiables ou maîtrisables. Le modèle keynésien ne raisonne donc qu’à court terme. Or, depuis le premier choc pétrolier de 1973, les relances de type keynésiennes aggravent même la crise en augmentant les déficits. Aujourd’hui, l’Etat providence est en crise – celle ci résulte de l’accroissement des prélèvements obligatoires par rapport aux richesses nationales

suivie de l’Europe de l’ouest (19,3%), de l’Asie de l’est et du sud-est (19,2%) et de l’Amérique du sud (19%). De part ces chiffres, nous pouvons remarquer que l’attrait aux énergies renouvelables est récent. En effet, ce n’est qu’après le premier choc pétrolier de 1973 (moment où le prix des hydrocarbures a quadruplé) que les pays industrialisés ont commencé à s’y intéresser. Avant, chacun exploitait ses ressources propres (le pétrole aux Etats-Unis, le lignite en Allemagne, le charbon en Grande-Bretagne

produit-elle. I. Les principaux mécanismes sociaux qui font que l’on a une certaine image sociale de cette jeunesse. Un des principaux mécanismes à la construction de cette image sociale est : les crises des années 70, avec le premier choc pétrolier de 1973, suivit du second en 1979. Il y aura alors une imposition des politiques économiques et de diversifications énergétiques. Cela conduira à une politique d’austérité qui contribuera à la détérioration du marché du travail. C’est également

il n’est pas aisé d’agir sur le niveau de consommation globale car celle-ci dépend de facteurs économiques et psychosociologiques peu identifiables ou maîtrisables. Le modèle keynésien ne raisonne donc qu’à court terme. Or, depuis le premier choc pétrolier de 1973, les relances de type keynésiennes aggravent même la crise en augmentant les déficits. Aujourdhui, l’Etat providence est en crise – celle ci résulte de l’accroissement des prélèvements obligatoires par rapport aux richesses nationales

colonial, qui lui sert a la fois de fournisseur et de marché. États unis ---» en 1914 : première puissance économique, en 1945 : ils détiennent 60 % des réserves mondiales d'or. Une croissance exceptionnelle de la fin de la guerre au premier choc pétrolier de 1973 (« les Trente Glorieuses ») • Des années 1950, au milieu des années 1970, les pays industriels connaissent une période de forte prospérité économique, aussi appelée « Trente glorieuses » Cette période fait suite à la reconstruction

la production, aussi bien en phase A qu'en phase B. Toutefois, le recul du PIB en phase B est plus fort et le reprise est plus lente. En phase A, ces crises durent environ un an ; en phase B, elles durent environ deux ans voire plus. Le Premier Choc Pétrolier de 1973 correspond à une crise avec une véritable récession brutale pendant laquelle la production diminue dans les pays industrialisés. Durant les Trente Glorieuses, on pensait que les crises décennales avaient disparu, car les 25 ans de croissance

DOSSIERS JUIN 2001 Le Marché Pétrolier Dossier réalisé en collaboration avec la DIrection des MAtières premières et des Hydrocarbures (DIMAH) Le poids de l’énergie dans l’économie des pays industrialisés, et leur sensibilité aux variations de prix, est devenu flagrant lors des chocs pétroliers de 1973 et 1979. Ces “chocs d’offre” ont surpris la “synthèse néoclassique”, qui prévalait alors dans l’élaboration des modèles économiques et plus généralement de la politique économique. Les mécanismes

c'est l'automatisation des chaines de productions et pour ce faire il faut investir dans de nouvelles machines c'est donc une augmentation du capital physique. Ceci participera grandement à l'essor du Japon qui passera même à travers le premier choc pétrolier de 1973 on peut donc considérer le capital physique comme étant une source non négligeable de croissance économique. Ensuite il y a aussi le capital humain à prendre en compte comme source de croissance économique, le capital humain est le niveau

avec comme pays membres l'Arabie Saoudite, l'Iran, l'Irak, le Koweït et le Vénézuela, marque véritablement la division Nord/Sud.  Le premier choc pétrolier apparaît en 1973 lors de la guerre de Kippour : les pays arabes décrètent un embargo et le prix du pétrole passe de 3 a 13$. En 1979, la révolution Iranienne provoque un deuxième choc pétrolier, ce choc fait augmenter le prix du baril, qui en 1980 culmine à 40$. Les pays importateurs intensifient leurs efforts en matière d'énergie nucléaire.