Cholécystokinine

70:103–115. 25. Drummond S, Crombie N, Kirk T. A critique of the effects of snacking on body weight status. European Journal of Clinical Nutrition, 1996, 50:779– 783. 26. Holt S et al. Relationship of satiety to postprandial glycaemic, insulin and cholecystokinin responses. Appetite, 1992, 18:129–141. 27. Stunkard A et al. Binge eating disorder and the night-eating syndrome. International Journal of Obesity and Related Metabolic Disorders, 1996, 20:1–6. 161 28. Rising R et al. Determinants of total

and amphetamine related peptides (CART�� Urocortine Corticotropin-releasing factor (CRF�� Thyrotropin-releasing hormone (TRH�� Neurotensine Sérotonine Leptine Insuline Glucagon-like peptide 1 (GLP-1�� Peptide YY3-3� (PYY3-3��� Oxyntomoduline Cholécystokinine (CCK�� Oleoylethanolamide (OEA�� N-acyl phosphoethanolamine (NAPE�� D’après Serge Lu�uet�� Céline Cruciani – Guglielmacci�� « Le contrôle central de la balance énergéti�ue »�� Cahiers de nutrition et de diététique�� Elsevier Masson (2009����

est d’une part d’alcaliniser le chyme (HCO3-) et d’autre part de réaliser l’essentiel de la dégradation chimique grâce aux enzymes qu’il contient. La sécrétion pancréatique exocrine est sous la dépendance de deux hormones, la sécrétine et la cholécystokinine (CCK). Ces deux hormones sont produites par des cellules duodénales, en réponse à des stimuli chimiques locaux. La sécrétion est également sous contrôle neuro-végétatif (figure 1). Planche couleur V Figure 1 Schéma des contrôles locaux

L’arrivée du contenu acide de l’estomac dans le duodénum provoque par l’intermédiaire d’une hormone, la sécrétine, la sécrétion de bicarbonate par le pancréas et donc une remontée du pH à environ 7. Le duodénum sécrète aussi une autre hormone, la cholécystokinine, qui stimule la sécrétion par les cellules exocrines du pancréas de plusieurs zymogènes, le trypsinogène, le chymotrypsinogène et les procacarboxypeptidases A et B. Le trypsinogène est converti en sa forme active, la trypsine, par l’entéropeptidase

saccharose, il apporte 17 k.J par g. La dose journalière admissible est de 50 mg/kg. Il semble que sa présence entraîne chez certains sujets, une prise alimentaire plus importante par action indirecte de la phénylalanine sur la sécrétion de cholécystokinine. ********************************************************************************** Quelques infos d’actualité concernant l’usage de l’aspartame C’est au cours de la synthèse d’un produit pour la thérapie des ulcères que l’aspartame a