Chryséléphantin

péplos : un homme barbu, vêtu d'un long chiton, reçoit d'un jeune garçon le péplos soigneusement plié. Le péplos est destiné à revêtir la vieille statue d'Athéna en bois dans le temple de l'Erechtéion et non la belle statue en or et en ivoire (chryséléphantine) qui se trouve dans le Parthénon. 8 Cette fête des Panathénées prend donc deux grandes dimensions : - religieuse, avec les concours poétiques, gymniques et surtout avec le sacrifice à Athéna. - politique, avec le rappel des devoirs du citoyen

Le sanctuaire d'OlympieIntroduction Si de nos jours, Olympie est surtout connue pour être le berceau des Jeux olympiques, ce site était, avant tout, un espace sacré de la Grèce Antique : un sanctuaire. Olympie se situe dans la région de l’Elide, au nord-ouest de la péninsule du Péloponnèse. Cette région se trouve entre la mer Ionienne et une chaîne de montagnes comprenant l'Achaïe au nord, l'Arcadie à l’Est et la Messénie au Sud. Cette région est de ce fait assez isolée du reste de la péninsule.

dispute entre Athéna et Poséidon pour la possession de l'Attique. Le temple est d'une manière générale décoré de nombreuses scènes mythologiques (combat des dieux et des géants, scènes de la guerre de Troie…). Au cœur du temple, se trouve la statue chryséléphantine d'Athéna, sculptée par Phidias. Même si le rôle du Parthénon était avant tout religieux (il abritait la statue de la déesse), le temple permettait également de conserver le trésor d'Athènes. La frise des Panathénées est une frise intérieure

d’édifices culturel = rendre un culte : - procéder des cérémonies religieuses - accomplir des rites (sacrifice, offrande, libation, prière, chant, geste, encens…) Des temples (Parthénon en trotte) : une gigantesque statue d’Athéna dite chryséléphantine (faite d’or et d’ivoire). = Luxe et richesse surdimensionné. = importance de la cité (politique + religieuse). Parthénon : architectures de frises (doc 4 du DM) représente une cérémonie Athénienne : Panathénées : 2ans et les grandes Panathénées :

Renaissance et le néo-classicisme des xviiie et xixe siècles européens. La période classique est aussi l'époque de sculptures monumentales, parfois en bronze (aurige de Delphes), parfois dans des matériaux moins usités, comme les sculptures chryséléphantines (placage d'or et d'ivoire) de Zeus ou d'Athéna, que Phidias a réalisées pour leurs temples respectifs, à Olympie (une des sept merveilles du monde) ou à Athènes. Le second classicisme (vers 370 - vers 330 av.JC) se distingue du premier par un

leur emplacement exact, malgré les dizaines de campagne de fouilles archéologique réalisées à Babylone. Cette énigme est d’autant plus surprenante que, les sept autres merveilles du monde Antiques ont toutes été retrouvées et situées. Statue chryséléphantine de Zeus – Olympie Colosse de Rhodes – Grèce Pyramide de Khéops - Memphis Temple d'Artémis – Ephèses Le tombeau de Mausole – Halicarnasse Le phare d’Alexandrie – Egypte Les écrits de Nabuscodonausore II Le roi Nabuscodonausore II faisait placer

(Athéna), le Parthénon, dont Ictinos avait conçu le plan; Callicratès, assisté d'une commission dont Périclès lui-même faisait partie, en exécuta les travaux; en 438, Phidias livra après un travail de six ans la magnifique statue d'ivoire et d'or (chryséléphantine) qui fut placée dans la cella. En 437 furent entrepris les travaux des Propylées, vestibule qui devait donner à l'entrée de la colline sacrée son caractère monumental. On entreprit aussi la construction d'un théâtre en pierre pour le culte de

ainsi à l’origine du Parthénon, temple dédié à Athéna, la fondatrice mythique de la cité, mais également les Propylées, l’Odéon, premier grandes salle de spectacle couverte, le Télestérion d’Eleusis et le long mur centrale, et enfin la statue chryséléphantine de Phidias. Certain texte lui attribue également une halle au grain de Pirée et le gymnase du Lycée. L’ampleur de ces travaux à susciter de nombreuse critiques, à la fois par son cout mais aussi par sa démesure. La notion d’ « hybris » était

Les deux personnages figurent au centre et ils tiennent respectivement de l'olivier et un trident. Des chevaux attelés à un char + des personnages légendaires de la mythologie athénienne remplissent le reste du fronton. Il abrite la statue chryséléphantine (χρυσός=or ; ελεφάντινος=ivoire) d’Athéna, l’œuvre est nommée Athéna Parthénos, taillée par le sculpteur Phidias, d’ailleurs l’édifice est aménagé de manière à mettre en valeur cette œuvre qui mesurait 12m de haut. La statue d'Athéna n'a fait

naos à trois nefs, salle des vierges ou Parthénon, opisthodome qui abrite le Trésor de la déesse · Statue chryséléphantine d’Athéna Parthénos, œuvre de Phidias, érigée dans le naos· Extérieur décoration d’ordre dorique : naissance d’Athéna sur le fronton est, dispute de l’Attique entre Athéna et Poséidon au fronton ouest, métopes représentant la Gigantomachie (est)